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que portait Charles Charon dit La Rose Cabanac (ancêtre de la famille Charron
dit Cabana) alors qu'il était soldat dans
une Compagnie franche de la Marine en Nouvelle-France Illustration:
Eugène
Leliepvre, historien artistique officiel de l'armée française |
H
I S T O R I Q U E N
O 1
NOTES
BIOGRAPHIQUES DE CHARLES
CHARON DIT LA ROSE CABANAC SOLDAT
D'UNE COMPAGNIE FRANCHE DE LA MARINE EN NOUVELLE-FRANCE
ANCÊTRE
DE LA FAMILLE CHARRON DIT CABANA Par: Jacques
J.J. Cabana pour l'Association
des Charron dit Cabana inc.
Les dons reçus pour les copies de cette publication historique serviront à financer les activités de recherches historiques et généalogiques pour la famille Charron dit Cabana. Merci pour votre encouragement. Page couverture: Soldat d'une Compagnie Franche de la Marine par monsieur Eugène Leliepvre
Reproduction autorisée avec mention de la source et le consentement de l'auteur ou de l'Association des Charon dit Cabana inc. Charles
Charon dit La Rose Cabanac serait né vers 1683. Il serait originaire de
St-Aignan, diocèse de Chartres en
Beauce, de la province de l'Orléanais en France, lieu probable de l'origine de
ses parents, Pierre Charon et Marie-Françoise Selles (Celles). C'est du moins
ce qu'il déclare pour son contrat et son acte de mariage en 1713. Vers
1699, âgé d'environs 16 ans, il s'engage au service du roi soleil, Louis XIV,
probablement sous le nom de Charles Charon, dans les troupes coloniales de la
marine royale française en qualité de soldat.
Ces dernières étaient en Nouvelle-France organisées en plusieurs
compagnies indépendantes appelées: "Compagnies
franches de la marine". Il
devient donc un soldat des Compagnies franches de la marine. Il
s'y enrôle probablement pour l'aventure et pour pouvoir profiter du passage
gratuit vers la Nouvelle-France. A
cette époque, le ministère de la marine française, créé en 1669, est
responsable de l'administration et de la défense de toutes les colonies royales
incluant ses possessions en Amérique du Nord.
Donc, pour défendre les colonies l'on crée des troupes coloniales
distinctes des troupes de marine servant à bord des navires de la marine
royale. Ces troupes arrivent en
Nouvelle-France à compter de 1683 et sont considérées comme les ancêtres des
Forces armées canadiennes d'aujourd'hui. Les Compagnies franches sont à l'origine formées exclusivement de français recrutés en France. Les trois premières arrivent à Québec, Nouvelle-France, lundi, le 8 novembre 1683, et sont composées de deux (2) officiers et cinquante (50) hommes chacune. Trente-deux (32) autres compagnies y seront envoyées par la suite. Au début, officiers et soldats proviennent de France mais, dès 1687, les officiers sont choisis parmi les couches supérieures de la population canadienne. Les soldats, par contre, sont recrutés en France. Les candidats recherchés sont des hommes âgés d'au moins 16 ans et mesurant 5 pieds 5 pouces. Ils proviennent en règle générale du nord de la France et des provinces côtières. Le service en Nouvelle-France est assuré par des troupes de l'armée de terre mises à la disposition du ministre de la Marine, les Compagnies (un groupe d'au plus cent hommes de tout grades) franches de la Marine. Un dépôt (formation élémentaire pour les nouveaux militaires) avait été institué dans l'île de Ré au large de La Rochelle sur la côte ouest de la France. Ce dépôt était composé de quatre Compagnies de recrues et jouait en même temps le rôle de dépôt d'isolés coloniaux. Ces premières troupes coloniales étaient formées en légions portant le nom de la colonie à laquelle elles appartenaient, dans le cas qui nous concerne, la Nouvelle-France. Le ministère de la marine offre aux membres de ces Compagnies franches
le passage vers les colonies et un travail rémunéré.
Il encourage également les hommes du rang à demeurer dans la colonie
pour s'y établir et fonder une famille une fois leur service militaire complété. En joignant
les troupes coloniales Charles Charon reçoit, comme la coutume le veut pour les
militaires de cette époque, un surnom. C'est
donc sous le nom de "Charles Charon dit La Rose" qu'il s'embarque, après
avoir reçu sa formation militaire, probablement au port de Rochefort de l'île
de Ré ou de l'île d'Oléron en Aunis, France, en hiver 1701.
Arrivé en Nouvelle-France, il est attaché à la compagnie du capitaine
Joseph de Jordy, Sieur de Cabanac. Celui-ci est natif de Carcassonne, dans le
Languedoc, France. Sa Compagnie franche est cantonnée dans la région de Montréal
ou des Trois-Rivières. Le nom de Cabanac était le nom de la seigneurie du père du
capitaine. Elle existe toujours et
se trouve à quelques kilomètres de Carcassonne.
Certains de leurs descendants en France portent toujours le nom de
Cabanac et un de ceux-ci, Michel, émigra au Québec vers 1970. Il est à noter qu'au début de la colonie comme aujourd'hui, il était courant que des noms de famille se terminent par des lettres muettes que l'on ne prononçait pas, tel que dans les noms Dugas ou Poitras. Les gens provenaient de plusieurs régions différentes de la France. L'orthographe et la prononciation d'un même nom pouvait donc varier. Ceci était d'autant plus possible car la grande majorité des habitants et des soldats ne savaient ni lire ni écrire. Il semble très probable que ce fut également le cas pour Cabanac qui se
serait prononcé avec le dernier "C" muet, un peu comme on ne prononce
pas le "C" dans le mot tabac. L'on
devrait donc écrire à ce moment Cabanac mais prononcer Cabana.
C'est du moins ce qui fut le cas en Nouvelle-France. Ceci expliquerait le
fait qu'en moins de trois (3) générations le nom ait évolué sans exception
dans la famille Charron dit Cabana vers la forme actuelle, soit avec
l'orthographe sans le "C" en terminaison. L'arrivée et le séjour à Détroit Le premier séjour de Charles dans la grande région de Ville-Marie (Montréal) sera de courte durée. Il sera, peu de temps après son arrivée, appelé à servir au nouveau fort Pontchartrain, aujourd'hui ville de Détroit dans l'État du Michigan, États-Unis. Il n'est pas encore possible de savoir s'il a fait partie du premier groupe du "Capitaine Antoine Laumet dit de Lamothe Cadilac" qui quitta Montréal au printemps 1701 avec une centaine d'hommes pour la région des Grands Lacs pour y fonder ce fort et ce poste de traite des fourrures. Cadillac y arrive en juillet 1701 et y fonde le fort Pontchartrain du nom du ministre de la marine en France à cette époque. Le fort Pontchartrain avait reçu le surnom de fort "au
détroit" car, il est situé sur le détroit qui relie le lac Huron au lac
Érié. Notre intéressé serait
donc un des fondateurs de la ville de Détroit. (cliquez pour agrandir l'image) Notre
jeune soldat
y est alors désigné sous le nom de Charles Charon dit LaRose, soldat de
Cabanac. En plus de son métier de
soldat il y pratique la traite de fourrures et y construit une maison sur un
terrain qu'il défriche. On le
retrouve par le biais des greffes du notaire du roi, Veron de Grandmesnils, le
samedi, 7 juillet 1708, au fort Pontchartrain du détroit, alors qu'il vend sa
maison de 25' x 22' sise sur la rue Ste-Anne, à Pierre Gareau dit St-Onge.
La maison est située entre la demeure de Joseph Depré et une maison
dite "de soldats" qui habritait la garnison du fort.
Il s'engage sur le contrat à rallonger la maison de 6' ou 7', à réparer
la cheminée et à accomplir d'autres réparations mineures.
La transaction se fait pour un montant de 75 "livres".
Le Sieur de Lamothe Cadilac y consent et signe l'acte. Autre
rencontre avec le notaire de Grandmesnil, le mercredi, 30 janvier 1709, au
"détroit" où il achète la maison de Louis Normand, pour un montant
de 45 livres, payable le 15 mai suivant. Notre
ami aura été un membre bien actif de cette nouvelle communauté qui venait de
naître. Il
aurait quitté le fort Pontchartrain (Détroit) pour la région de Montréal
vers 1710. Il fait par la suite
l'achat d'un terrain peu défriché et sans bâtiment de Jenin Ginrozac, soldat.
La propriété est située sur la côte St-Michel sur l'île de Montréal.
Probablement à cause de ses obligations de travail il semble n'y avoir
jamais construit de bâtiment. Dès
son arrivée à Montréal il réintègre les rangs du Capitaine de Jordy Sieur
de Cabanac. Lorsque ce dernier est
nommé en juin 1712, Major des Trois-Rivières, sa compagnie est prise en charge
par le nouveau capitaine, promu à ce grade le 18 juin 1712, "Henri Jules
Le Fournier Sieur du Vivier". La
Compagnie franche de Cabanac devient alors la Compagnie franche de du Vivier. Les
greffes de notaires nous apprennent souvent d'autres faits dignes de mention. En effet, le dimanche, 8 janvier 1713, lorsqu'André
Chapdelaine dit La Rivière agit comme témoin au mariage de Gabriel Trotet à
Verchères, Québec, il y est inscrit comme ayant été lui aussi "soldat
de de Jordy Sieur de Cabanac". Fait
intéressant car, 274 ans et dix (10) générations plus tard, soit le 21 mars
1987 à Notre-Dame de Québec, s'unieront Marie-Josée Chapdelaine et Jacques
J.J. Cabana (auteur de ce présent ouvrage), descendants directs d'André
Chapdelaine et de Charles Charon dit La Rose Cabanac qui furent sinon des amis,
des confrères d'armes certains, du moins pour quelque temps, dans la compagnie
de de Jordy Sieur de Cabanac. Un
exemple qui illustre bien que les gens de vieilles familles du Québec trouvent
presque toujours un lien entre-eux, même s'ils ne portent pas le même nom de
famille. En
janvier 1712 débutent les pourparlers du traité d'Utrecht qui mettra un terme
à la guerre de la succession d'Espagne en avril 1713.
Ceux-ci ont pour effet, dès le début des pourparlers, de mettre un
terme aux affrontements armés entre Français et Anglais en Amérique.
Ils laissent donc présager une paix souhaitée de tous.
Plusieurs militaires profitent de cette accalmie relative pour demander
leur licenciement afin de pouvoir se marier et de s'établir comme colon dans
une seigneurie. Il
semble fort probable que ces mêmes intentions et conditions motivaient notre
intéressé alors qu'il prend comme épouse Elizabeth Poupart dite Lafleur le
dimanche, 26 février 1713, à Notre-Dame de Montréal.
Elizabeth était fille de René Poupard dit Lafleur et de Marie Gendron
de Chambly. René Poupard avait été
lui-même soldat du régiment de Carignan.
Le capitaine du Vivier est présent à la cérémonie et consent au
mariage comme la coutume de l'époque l'exige.
Le contrat en communauté de biens se conclut le jour même devant le
notaire Le Pailleur en la demeure du frère de l'épouse, Joseph, à Ville-Marie. Le
marié y déclare la "douère" (fortune personnelle) suivante: une terre et consession sur la côte St-Michel (décrite
ci-haut) et; 1 000 "livres" en argent liquide. Cette somme est considérable lorsque l'on sait qu'un an de
salaire moyen pour un homme de métier, à cette époque, était de l'ordre
d'environ 150 "livres". Considérable
oui, mais pas surprenant car, l'on sait qu'au fort Ponchartrain (Détroit), à
cette époque, le Sieur de Lamothe Cadilac était constamment en querelle avec
les autorités de la colonie qui l'accusaient de consacrer plus d'énergie,
ainsi que celle de ses hommes, à la traite des fourrures avec les Amérindiens,
qu'à ses devoirs de soldat et de colonisateur.
A cette époque le trafic des fourrures était extrêmement lucratif pour
des gens comme le Sieur Lamothe Cadilac. Donc,
il le fut sûrement autant, toutes proportions gardées, pour les hommes sous
son commandement comme notre ami Charles Charon dit La Rose.
Il serait donc revenu de la future ville de Détroit pas trop mal en
point financièrement. Fait très significatif dans ce mariage, le marié est inscrit pour la première fois comme étant "Charles Charon dit La Rose Cabanac", soldat de du Vivier. Il a donc joint à son nom un second surnom emprunté à son ancien commandant de compagnie. Ceci fut fait sûrement avec le consentement de ce dernier puisqu'il est toujours, à ce moment, major des Trois-Rivières. Le nouveau major des Trois-Rivières décède le 26 avril 1713. Il est difficile encore d'expliquer exactement pourquoi notre intéressé se retrouve avec ce nouveau surnom. Nous savons cependant qu'il y avaient d'autres habitants du nom de Charron dans son entourage à cette époque. Les Charron dit Ducharme, Charon de la Barre et Charron dit Laférrière habitaient également la Nouvelle-France. Ces autres Charron étaient arrivés bien avant Charles et avaient des familles ou des situations bien établies. Il n'est pas impensable que notre intéressé ait eu le désire de se différencier de ces autres familles et qu'il avait développé un attachement particulier pour le surnom de Cabanac qui le suivait depuis quelques années notamment pendant ses années au fort Pontchartrain au "détroit". Nous pouvons croire qu'il s'agit là d'un surnom plus qu'important pour
Charles Charon dit La Rose car, celui-ci en plus de le conserver pour lui, le
donna à chacun de ses quatorze (14) enfants et le perpétua de façon à ce
qu'aujourd'hui une bonne proportion de ses descendants sont connus sous le nom de
son premier capitaine et vécurent sous le nom de Charron dit Cabana. Après
plusieurs transformations du nom dues à la standardisation, à la
simplification et à l'usage, on retrouve aujourd'hui ses
descendants dans toutes les familles du nom de Cabana, dans plusieurs familles
du nom de Charron et Charon de souche canadienne. Un autre
fait très intéressant est que tandis que la lignée de Charles se perpétuait
sous le nom de Cabanac (ou Charron dit Cabana); la descendance en Amérique, de
toute la famille du fameux capitaine Joseph de Jordy Sieur de Cabanac, devenu
major des Trois-Rivières, se perpétuait sous le nom de "Desjourdy",
sans y laisser trace du surnom de Cabanac. Après son
mariage, on retrouve Charles par le biais de l'acte de baptême de son premier fils
Charles II, le 19 janvier 1714. Il
y est inscrit comme soldat, membre de la garnison du château de Ramezay,
gouverneur de Montréal, à Ville-Marie (Montréal aujourd'hui).
Il y demeura probablement jusqu'au moment où il quitta le service
militaire vers 1717. Le lundi,
28 janvier 1715, le Seigneur des Iles Bouchard (sur le fleuve St-Laurent en aval
de Montréal), François de Jordy Moreau de Cabanac, neveu du capitaine devenu
major des Trois-Rivières, fait le recensement de ses censitaires. Il semble
bien que notre soldat aurait été du nombre. Le recensement en question avait
été ordonné pour toute la région du gouvernement de Montréal, le 16 décembre
1714, et avait comme but de faire la répartition des corvées en vue de la
construction des fortification en pierre de Ville-Marie. Charles Charon dit La
Rose Cabanac y participa donc fort probablement. Notre intéressé reçoit une concession (terre) de 120 arpents de superficie sur la seigneurie de la veuve de Joseph de Jordy Sieur de Cabanac, le 12 août 1717, devant le notaire Marrin Thaillandier, à Boucherville. Cette seigneurie est connue alors sous le nom de fief de Cabanac et deviendra par la suite le fief de Cournoyers dans la municipalité de Verchères. Ce fief se détacha de Verchères au siècle dernier pour devenir Ste-Théodésie puis, Calixa-Lavallée. Voyez que les changements de noms ça nous connaît! Charles
semble s'y être installé entre août 1717 et l'été 1718 et avoir quitté la
profession des armes cette année même. Alors
âgé de 34 ans, il s'y rend avec sa femme et ses deux enfants. Douze autres
enfants verront le jour sur cette terre qu'ils défricheront et rendront
fertile. Charles
devenu cultivateur et habitant, exercera également pendant plusieurs années,
la profession de "voyageur". En cette qualité il contracte des
engagements pour guider des expéditions à partir de Montréal vers son
ancienne garnison au Fort Pontchartrain à Détroit pour le commerce des fourrures.
Il fera le voyage de nombreuses fois et y initiera ses fils. Un de ses petits fils s'établira d'ailleurs à Détroit et
fondera ainsi la lignée de Cabana que l'on peut voir aujourd'hui en consultant
les annuaires téléphoniques de cette région (Détroit, États-Unis et
Windsor, Ontario). Notre ancêtre
s'éteint le 26 avril 1754 à Verchères à l'âge respectable de 71 ans. Il laissa derrière lui toute une vie des plus mouvementée.
Son épouse Élizabeth Poupart dite Lafleur, qui a porté et élevé 14 enfants, défriché une terre
nouvelle et est devenue sujet britannique après la conquête, meurt à Verchères
le 16 décembre 1775 à l'âge de 86 ans. Voici maintenant la liste de leurs enfants ainsi que quelques détails au sujet de leur naissance, mariage et progéniture. Il est à noter que seul trois de leurs enfants auront de la postérité qui perpétuera le nom de la famille, pour plus de 200 ans, sous l'appellation de "Charron dit Cabana". Il s'agit de Charles, Antoine et Jean-Baptiste respectivement leur premier, troisième et dixième enfant. Jean-Baptiste Charon dit La Rose Cabanac, qui fut connu également sous le surnom de Jean-Baptiste Charon dit
Labalai, sera celui qui héritera de la terre paternelle le 28 décembre 1745.
Il est alors âgé de 20 ans. La
terre sera ainsi transmise de père en fils pour voir cinq générations y vivre
et prospérer. Elle est vendue le 2 août 1855 à Jean-Baptiste Chagnon et
Alexandre Bienvenue dit Fontaine par Lambert Charon dit Cabana alors âgé de 53
ans. Lambert était le père de maître Hubert Charon dit Cabana qui pratiqua à
Sherbrooke où il devint le premier maire canadien-français. Tenue de travail de soldats des compagnies franches de la marine.
Enfants de Charles et d'Élizabeth: note:
Sauf avis contraire, toutes les localités ci-dessous sont aujourd'hui dans
la province du Québec, Canada et les lieux de naissance sont les mêmes
que les lieux de baptême. L'orthographe
des noms et prénoms respecte celle inscrite sur les actes religieux
originaux. 1- Charles II Charon dit La Rose Cabanac né: 9 janvier 1714, à Sorel. baptisé:
19 janvier 1714, à Ville-Marie. mariages: 1er à Marie-Magdelaine Laliberté dite Colin, le 8 février 1739,
à St- Sulpice. 2ème à Charlotte Lemay, le 19 juillet 1770, à Verchères. enfants: Charles, Augustin, Jean-Baptiste, Marie-Madeleine, Michel, Marie-Judithe, Louise, Antoine, Antoine, François-Marie, Jean-Marie, Louise-Claire et un Anonyme. * Augustin,
Michel et Jean-Baptiste perpétueront le nom de famille sous l'appellation "Charon dit Cabana". 2- Elisabeth Charon dite Cabanac née: 28 août 1715, à Ville-Marie. mariage: à
François-Xavier Guértin (Gauthier), le 7 juin 1734, à Verchères.
3- Antoine Charon dit La Rose Cabanac né: 12 juillet 1717, à Ville-Marie. mariage: à
Marie-Thérèse Charron dite Ducharme (Labonté),le 8 février 1737,Verchères. enfants:
Agathe, François, Jean-Baptiste, Marie-Louise, Gabriel, Joseph, Louise, Marie-Josette, Antoine, Charles et Elisabeth. * Antoine,
Joseph, Jean-Baptiste, François, Louis et Gabriel perpétueront
le nom de famille sous l'appellation "Charon dit Cabana".
4- Marie-Catherine Charon dite Cabanac née: 14 mars 1718, à Verchères. mariage:
Michel Laliberté dit Colin, le 3 février 1744, à Verchères. 5- Marie-Anne (Catherine-Marie) Charon dite Cabanac née: 23 mai 1719, à Verchères. baptisé à
Contrecoeur. mariage: à
Louis-Basile Ledoux, le 9 février 1750, à Verchères. 6- Marie-Françoise Charon dite Cabanac née: 28 octobre 1720, à Verchères. baptisé à
Contrecoeur. mariage:
inconnu.
7- Thérèse Charon dite Cabanac née: 11 mai 1722, à Verchères. baptisé à
Contrecoeur. mariage:
1er à François Jarret (Jared) dit Beauregard, le 16 janvier
1747, à Verchères. 2ème à Louis-Charles Fréchette, le 28 janvier 1771, à
St-Charles-sur-Richelieu. 8- Marie-Véronique Charon dite Cabanac née: 1er septembre 1723, à Verchères. mariage: à
Pierre Adam, le 13 janvier 1744, à Verchères. 9- Louis Charon dit Cabanac né: 23 juillet 1727, à Verchères. mort:
22 décembre 1727, à Verchères. 10- Jean-Baptiste Charon dit La Rose Cabanac, dit Labalai né: 17 février 1728, à Verchères. mariage: à
Marie-Anne Chicoine dite Dozois,le 25 novembre 1748,à Verchères. enfants:
Jean-Baptiste, Antoine, Joachim, Magdeleine, Marie, Marie-Anne,
Marie-Françoise, Marie-Judithe et François. *
Jean-Baptiste, Joachim et François perpétueront le nom de famille sous l'appellation
"Charon dit Cabana". 11- Joseph Charon dit Cabanac né: 12 avril 1729, à Verchères. mort:
14 avril 1729, à Verchères. 12- Marie-Charlotte Charon dite Cabanac née: 14 juin 1731, à Verchères. mariage:
Inconnu. 13- Marguerite-Amable (Marguerite-Anne) Charon dite Cabanac née: 28 juin 1733, à Verchères. mariage:
Jean-Baptiste Coursol(le), le 1er février 1757, à Verchères. 14- François Charon dit La Rose Cabanac né: inconnu mort: 29 décembre 1747, à Verchères
Jacques Cabana |