Mot du président, volume 1 No 1

C'est avec une joie si profonde que j'entre en contact avec vous tous que je ne peux m'empêcher d'être des plus optimistes concernant l'avenir de notre association. Je vous remercie tous de m'avoir appuyé dans ce projet qui me tenait très à coeur et que vous avez décidé de faire vôtre. Les Leblond ont enfin leur association propre, au même titre que plusieurs autres familles québécoises, et il n'en tient qu'à vous que celle-ci demeure une association des plus vivantes. Les dirigeants que vous avez élus lors de votre première assemblée annuelle sont là pour vous servir et vous faire profiter des bienfaits d'une association fertile en idées et en projets, mais ils ne peuvent tout faire seuls. Nous comptons sur vous car ce n'est pas le travail qui manque, que ce soit au niveau du recrutement, du journal, du financement, des fêtes ou des recherches généalogiques. Je remercie tout particulièrement les membres qui ont accepté un poste d'administrateur ainsi que tous les gens qui ont apporté leur support au bon départ de notre association. Longue vie à l'Association des familles Leblond Inc.

Denis Leblond, président

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Mot du président, volume 1 No 2

Comme président de votre association, j'aimerais vous faire connaître ma fierté de travailler avec les membres que vous avez élus au conseil d'administration en octobre dernier. Tous ont mis la main à la pâte et je suis heureux de vous dire que nous serons au moins 200 membres avant la fin de notre première année d'existence. Nous aimerions rejoindre tous les gens que notre association peut intéresser et nous devons compter sur vous tous afin de diffuser les avantages de votre association.

Ce deuxième bulletin contient des articles plus étoffés concernant nos familles Leblond grâce à la collaboration de membres dévoués à la bonne santé de notre association. Ceux qui ont des choses à raconter sont nos collaborateurs, il suffit d'avoir le goût de faire partager aux autres les souvenirs qui habitent nos mémoires et nos vielles armoires.

En ce temps de festivité pascale, je souhaite longue vie et forte vigueur à notre ASSOCIATION DES FAMILLES LEBLOND INC. et qu'elle puisse trouver toutes les tribunes pour propager l'idéologie LEBLOND faite de goût de vivre, de fraternité et de reconnaissance envers nos aieux.

Denis Leblond, président

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Mot du président, volume 1 No 3

C'est avec enthousiasme que j'aimerais vous faire partager le bonheur et le contentement vécus par votre conseil d'administration. Notre objectif de recrutement de 200 familles membres, pour notre première année, a déjà été dépassé; au moment d'écrire ces lignes nous comptons près de 230 membres. Bravo et bienvenue à tous. Chaque membre devrait se faire un devoir de disperser la bonne nouvelle en faisant connaître l'existence de notre association.

Notre deuxième assemblée générale se tiendra bientôt dans la belle région de Thetford-Mines. Trois postes d'administrateurs viennent à échéance et, de plus, nous devrons remplacer un administrateur démissionnaire. Votre conseil d'administration a hâte de vous revoir ou de vous connaître. Nous sommes impatients de pouvoir fraterniser avec vous tous. Ne manquez pas d'inviter toutes les personnes Leblond, descendantes ou affiliées afin que nous puissions permettre à plus de gens de vivre ces agréables moments de retrouvailles.

Leblondement vôtre,
Denis Leblond, prés.

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La relève, volume 1 No 3

Votre conseil d'administration et, en particulier, votre comité directeur font de leur mieux pour vous offrir ce que vous attendez d'eux mais ils ne pourront pas tout faire sans risquer de s'essouffler. La relève doit être un outil de perfectionnement dans notre cheminement; le sang neuf stimule et amène des idées nouvelles. Nous avons besoin de gens pour le journal, le recrutement, le secrétariat, les appels téléphoniques, l'histoire familiale, etc.. Si vous possédez certaines qualités, talents, expertises et, surtout, un intérêt quelconque, nous aimerions que l'association puisse en profiter. La relève est l'assurance d'une continuité. Il ne peut y avoir que des consommateurs, il doit y avoir des concepteurs, des producteurs ainsi que des artisans. Il faut inviter tous et chacun à se manifester et à offrir leurs services pour le bon fonctionnement de l'association. Vous qui lisez ceci, nous avons besoin de vous!

Votre comité directeur

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Mot du président, volume 2 No 1

En octobre dernier, l'association a terminé sa première année d'existence. Notre deuxième assemblée générale annuelle a eu lieu à Thetford-Mines le 6 octobre et a réuni près de 100 personnes. J'aimerais remercier Normand (116) et son équipe pour tous les efforts qu'ils ont mis pour l'organisation de cette rencontre.

Nous débutons notre deuxième année avec déjà près de 250 membres. Notre défi est donc de consolider nos acquis. Nous devons continuer le recrutement de nouveaux membres et, surtout, veuiller à ce que nos membres demeurent actifs et renouvellent leur cotisation. Le renouvellement est important car il nous permet de connaître l'intérêt porté à notre association. Nous devons nous attacher à la formation des comités régionaux à l'exemple de ceux de Beauce-Thetford-Lotbinière et du Bas-du-Fleuve.

La période des Fêtes étant un moment fort de fraternisation entre les différentes familles, nous espérons que vous profiterez de ce temps pour parler de votre association. Au nom du conseil d'administration, j'aimerais donc vous souhaiter un très Joyeux Noël et tous nos voeux de paix, santé, bonheur et prospérité pour la Nouvelle Année.

Leblondement vôtre,
Denis Leblond, président

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Rassemblement 1991, volume 1 No 3

Comme il a été entériné lors de l'assemblée générale du 6 octobre dernier, le conseil d'administration s'est réuni le 10 novembre afin de choisir le lieu de notre prochaine assemblée générale. Un comité régional, de la région 01, s'est réunie le 30 novembre et suggère Trois-Pistoles comme point de rassemblement des Leblond en 1991. Il nous offre une nouvelle approche afin de rendre nos rencontres plus enrichissantes et intéressantes. Nous partirons à la découverte géographique et historique de la région de Trois-Pistoles dans le comté de Rivière-du-Loup. Il faut se rappeler qu'une très grosse branche de Leblond origine de cette ville qui compte près de 300 ans d'histoire. Plus de détails nous seront fournis dans le journal de mars 1991.

Nous aimerions remercier René Leblond et Yvonne Leblond-Ouellet (43), tous deux de Trois-Pistoles, qui ont accepté respectivement les postes de président et de vice-président de ce comité régional. Nous remercions également les autres personnes qui ont participé à cette rencontre. BIENVENUE AU PAYS DES BASQUES.

Votre comité du Bas-St-Laurent


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Nos ancêtres, volume 2 No 2

Jacquiés dit Leblond, Jean, sculpteur et peintre, né dans la paroisse de Sainte-Catherine, à Bruxelles, en 1688, fils de Luc Jacquiés et de Barbe Segris (Seygris), décédé après 1724. Arrivé au pays vers 1712, il épousa à Montréal le 24 novembre 1715 Catherine Guillemote; ils eurent au moins trois enfants.

Jacquiés dit Leblond oeuvra surtout dans la région de Trois-Rivières. Le 28 juin 1716, il y entreprit l'autel de l'église des Ursulines; le contrat porte la signature du père Joseph Denys, alors curé de cette ville. Le curé de Saint-François-du-Lac, Jean-Baptiste Dugas, lui commanda, le 23 février 1721, un tabernacle semblable "à celui qu'icelui Leblond a ci-devant fait aux Révérends Pères Récollets de cette ville [Trois-Rivières] et qui est à présent au maître-autel de leur église". Outre le bois nécessaire, Jacquiés reçut 350# en monnaie et 20 livres de tabac.

Il ne reste de son oeuvre de sculpteur que deux bas-reliefs destinés à la première église de Yamachiche, une madone et des fragments du tabernacle de Saint-François-du-Lac. Deux seuls tableaux nous permettent de juger de ses talents de peintre: Marie-Madeleine repentante et Madone tenant son enfant. Les deux bas-reliefs conservés représentent saint Joseph et saint Simon. On y remarque une absence d'artifices et un certain raidissement qui rappellent en quelque façon la naïveté des maîtres du moyen âge. La statut de la Vierge est plus élaborée sans être fignolée. L'ascendance flamande de l'artiste est plus évidente en ses peintures, qui conservent encore une certaine rigidité de composition qu'atténuent agréablement les drapés compliqués et les tons bien distribués.

Nous perdons la trace de Jacquiés après 1724, année où il fit baptiser un de ses enfants. Nous savons toutefois que sa femme revint mourir à Montréal en 1734.

Note 1 : Cet article est tiré du Dictionnaire biographique du Canada, Volume II (1701-1740), page 305, écrit par M. Maurice Carrier. Il nous a été transmis par le Docteur Charles-Philippe Leblond, membre #238, que nous tenons à remercier.

Note 2 : Concernant cet ancêtre, son nom de famille a eu les transformations suivantes: Jacquet, Jacqueze, Jacques et Jacquier-dit Leblond. Il a été inhumé à Sorel le 26 décembre 1723. Marie-Chrétienne (Catherine) Guillemot-Lalande est née le 28 et baptisée le 29 septembre 1695 à Montréal. Elle décède le 22 et est inhumée le 23 novembre 1734 à Montréal. Ils eurent trois filles, toutes baptisées à Trois-Rivières: Agnès Leblond née le 5 août 1720, future épouse de Louis Mongeau; Michelle Jacquet née le 18 novembre 1722 et inhumée le 8 avril 1723; Geneviève Jacquet, fille posthume, née le 8 mars 1724.

par Denis Leblond(1)


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Volume 2 No 3

Leblond de Latour, Jacques , peintre et sculpteur qui enseigna à l'école des Arts et Métiers de Saint-Joachim, prêtre et curé de Baie-Saint-Paul, né à Bordeaux le 14 janvier 1671, décédé à Baie-Saint-Paul le 29 juillet 1715.

Son père, Antoine Leblond de Latour (né vers 1630 et décédé le 9 décembre 1706), joua un rôle très important dans la vie artistique de Bordeaux: peintre de l'hôtel de ville de Bordeaux en 1665, membre de l'Académie royale de peinture de Paris en 1682, membre-fondateur de l'Académie de peinture et de sculpture de Bordeaux (la seule hors de Paris) et premier professeur à cette académie en 1691, il fut aussi écrivain puisqu'il publia en 1699 une Lettre du sieur Leblond de Latour à un de ses amis, contenant quelques instructions touchant la peinture. Son frère aîné, Marc-Antoine (1668-1744), succéda à son père comme peintre de l'hôtel de ville de Bordeaux de 1690 à 1742. Son frère cadet, Pierre (né en 1673), passa en Amérique au début de XVIII siècle à titre d'ingénieur ordinaire du roi; on le retrouve en Louisiane en 1720.

Jacques Leblond de Latour serait arrivé en Nouvelle-France le 24 mai 1690, à l'âge de 19 ans. Aucun document ne permet de savoir quelle formation artistique il avait alors, mais on peut facilement supposer qu'il fit l'apprentissage de la peinture avec son père. La sculpture devait aussi lui être familière, puisqu'il y avait à Bordeaux de nombreux menuisiers-sculpteurs. Son départ peut avoir été motivé par la nomination de son frère Marc-Antoine au poste de son père: le nombre de maîtrises était limité à cette époque et il était de tradition que le fils aîné succède au père.

Il est difficile d'établir avec certitude la date de la fondation de l'école des Arts et Métiers de Saint-Joachim. Cette oeuvre de l'intendant Jean Talon et de Mgr de Laval est rattachée à la fondation du petit séminaire de Québec en 1668. A cette école, située près de l'emplacement de la première église de Saint-Joachim (à plus de 25 milles de Québec), on enseigne "la menuiserie, la sculpture, la peinture, la dorure, pour l'ornement des églises, la maçonne et la charpente. Il y a de plus tailleurs, cordonniers, taillandiers, serruriers, couvreurs qui apprennent ces métiers aux enfants du pays". Ce document, cité par Amédée Gosselin, date de 1685, mais dès 1675 arrivaient au pays divers artisans dont "Michel Fauchois, apprenti sculpteur loué pour 4 ans" et "Samuel Genner, sculpteur engagé pour trois ans". Ils venaient manifestement prêter main-forte à l'école qui s'organisait, puisqu'ils étaient engagés par le séminaire de Québec. Mgr de Saint-Vallier (La Croix), qui visita les lieux en 1685, écrivait: "Mon principal soin dans le Cap-Tourmente fut d'examiner l'un après l'autre 31 enfants que deux ecclésiastiques du Séminaire élevaient, et dont il y en avait 19 que l'on appliquait à l'étude et le reste à des métiers".

C'est après l'arrivée de Leblond de Latour, en 1690, que l'école connut ses années les plus prospères, au cours desquelles fut construite la chapelle du séminaire de Québec. Il ne reste rien de cette chapelle, incendiée en 1701. Cependant, la description qu'en fait Le Roy de La Potherie donne une idée de ce qu'elle était: "La sculpture, que l'on estime 10 000 .cus, en est très belle; elle a été faite par les Séminaristes qui n'ont rien épargné pour mettre l'ouvrage dans sa perfection. Le maître-autel est un ouvrage d'architecture à la corinthienne; les murailles sont revêtues de lambris et de sculptures dans lesquels sont plusieurs grands tableaux. Les ornements qui les accompagnent se vont terminer sous la corniche de la voûte qui est à pans, sous lesquels sont des compartiments en losanges, accompagnés d'ornements en sculpture peints et dorés".

Il n'est pas possible d'évaluer la participation exacte de Leblond de Latour à l'ornementation de la chapelle du séminaire, des retables de Château-Richer, de Sainte-Anne de Beaupré et de l'Ange-Gardien. On ne peut lui attribuer avec certitude aucune sculpture. Devant ce qui reste aujourd'hui des ouvrages de l'Ange-Gardien et de Sainte-Anne de Beaupré, il faut songer quMil s'agit d'entreprises auxquelles participèrent les élèves de l'école et des sculpteurs comme Denis Mallet, Charles Vézina et Pierre-Gabriel Le Prévost.

Le retable de Sainte-Anne de Beaupré fut exécuté vers 1700 par les sculpteurs de l'école de Saint-Joachim. La chapelle commémorative actuelle en conserve les restes dont quatre colonnes, un tabernacle et deux statues en bois représentant sainte Madeleine et saint Jean. Une photo de Livernois prise en 1877 montre la disposition originale du retable avant la démolition de l'église en 1878: il faut s'y reporter pour avoir une idée de l'ensemble dont l'aspect architectural était très soigné. Les colonnes, qui sont ornées à la base de guirlandes de fleurs, permettent d'associer ce travail à celui de l'Ange-Gardien où l'on retrouve des colonnes semblables. Les sculptures de sainte Madeleine et de saint Jean sont de la même main que les deux petits anges annonciateurs qui ornent le tabernacle. Ce dernier constitue la pièce de résistance de l'ensemble: s'il comporte peu de motifs décoratifs en relief, son architecture se veut très savante. On y retrouve différents types de colonnes, corniches, frontons, coupoles, balustres, etc. Tout se passe comme si l'on eût voulu donner un exemple de tous les éléments architecturaux qui peuvent composer un tabernacle.

Le retable de l'Ange-Gardien était beaucoup plus orné que celui de Sainte-Anne de Beaupré: on y retrouve cependant les mêmes motifs. Exécuté lui aussi vers 1700, ce retable fut plusieurs fois remanié jusqu'à l'incendie de l'église en 1931; les paroissiens en sauvèrent alors la plus grande partie et tout fut replacé dans l'église nouvelle où il resta jusqu'en 1963. Le maître-autel demeure l'une des oeuvres majeures de la sculpture au Canada français; plus fouillé que celui de Sainte-Anne, il est aussi d'un esprit plus raffiné. Deux grandes sculptures ornaient le retable: celles de saint Michel et de l'Ange Gardien. D'une exécution différente des sculptures de Sainte-Anne, elles semblent avoir été travaillées par un sculpteur de métier possédant une formation européenne. Par contre, la statuette qui occupait la niche centrale du maître-autel, une Vierge à l'enfant, est certainement l'oeuvre d'un sculpteur formé à Saint-Joachim; sa raideur et sa naïveté en font une des sculptures les plus intéressantes de cette époque.

Jacques Leblond de Latour prit l'habit ecclésiastique en 1696. Il ne fut ordonné prêtre qu'en 1706, et fut nommé curé de Baie-Saint-Paul . Il est peu probable qu'il ait par la suite exercé son métier de sculpteur. Mais il n'était pas que sculpteur: ses antécédents familiaux le destinaient à être peintre. M. Gérard Morisset lui attribue plusieurs oeuvres, dont un portrait de Mgr de Laval conservé à l'archevêché de Québec et un portrait de Mgr de Saint-Vallier, à l'Hôpital Général de Québec.

par Denis Leblond (1)


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Rassemblement des descendants d'Amanda Savard, volume 3 No 1

Le 21 juin 1991 fut une belle journée de retrouvailles et de fraternisation pour tous les descendants d'Amanda Savard et de ses deux époux, Pierre Tremblay et Ernest Leblond. Amanda et Ernest sont mes grands-parents.

Avec l'aide d'un comité représentant les différentes branches, l'organisation fut assez facile. Leur bénévolat fut récompensé car soixante-neuf personnes portant les patronymes Turcotte, Tremblay, Harvey, Imbeault et Leblond se sont donnés rendez-vous à St-Siméon, comté de Charlevoix, pour remémorer le souvenir de ces trois personnes qui leur sont si chères.

Nous avons eu l'énorme chance d'avoir avec nous Claude Leblond (#2), qui n'a aucun lien proche avec notre famille. Claude nous a fait une conférence sur les tremblements de terre, sujet qui a été fort apprécié par les gens présents. Merci beaucoup à Claude.

Nous avons également eu la chance d'assister à un récital de poêmes d'Yvon Leblond au cours duquel une chorégraphie de ballet-jazz fut effectuée par Mario Leblond. Les gens ont adoré ce spectacle. Par la suite, une animation au son de la guitare fut l'oeuvre de Jean-Paul Harvey et de Maurice Imbeault.

Un encan chinois a permis de vendre des objets d'artisanat familial. Le repas comportait notre "vieille bonne tourtière" de chez nous et du bon "pouding au chômeur". De très belles plaques-souvenirs furent remises aux ainés de chacune des branches ainsi qu'à la chapelle de Sagard, petit hameaux entre St-Siméon et Rivière-Eternité. Nous avons visité la maison ancestrale, les Palissades, l'endroit où Ernest avait un moulin à scie sur la rivière de Sagard, ainsi que le domaine des Harvey.

Je remercie tous ceux et celles qui ont fait de cette journée un souvenir inoubliable que tous se promettent de revivre probablement dans trois ans.

Vive les Leblond de Charlevoix.

par Denis Leblond (#1)


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Mot du président, volume 3 No 2

Nous sommes très heureux de réaliser l'intérêt porté à notre Association, de constater la progression du nombre d'adhésion et de voir les améliorations apportées à notre Journal. Avec le présent numéro, nous débutons la publication de certaines rubriques en langue anglaise afin de satisfaire nos membres anglophones qui pourront également, de cette façon, publier dans leur langue.

Nous sommes fiers de vous annoncer la création du comité régional du Saguenay-Lac-Saint-Jean qui s'est déjà mis en branle au début de janvier dernier pour préparer notre rassemblement annuel en septembre 1992. Merci beaucoup à ce groupe de bénévoles et félicitations à ceux qui ont accepté les différentes charges. La région de l'hospitalité se prépare à accueillir tous les Leblond et soyez assurés de leur dévouement.

Notre Association possède maintenant des outils d'identification que tous peuvent se procurer: armoiries, plaques d'automobile et épinglettes. Soyez fiers de votre Association et portez vos couleurs! Vivons notre devise: "Tout par le labeur".

Leblondement vôtre,
Denis Leblond, président


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Mot du président, volume 3 No 3

Quelle belle fin de semaine passerons-nous les 26 et 27 septembre prochains alors que les Leblond de la belle région du Saguenay-Lac-St-Jean-Charlevoix-Côte-Nord nous recevrons pour la tenue de notre 4ème Assemblée générale annuelle. J'aimerais remercier leur président local, M. Gaétan Leblond, ainsi que tous les membres de son comité pour le magnifique travail effectué jusqu'à maintenant. Le pays de l'hospitalité nous attend; veuillez vous réserver ces dates pour venir fraterniser avec nous.

Je veux également profiter de l'occasion pour remercier le comité du Journal pour leur beau travail et j'aimerais souhaiter la bienvenue à Suzie. Quel enthousiasme dans ce comité!

Soyons fiers de notre Association, chérissons nos ancêtres, portons nos couleurs et parlons-en aux autres.

Leblondement vôtre,
Denis Leblond, président


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Rapport du président, volume 3 No 4

C'est avec enthousiasme et espoir que le Conseil d'administration et son président terminent leur mandat en cette troisième année de vie de notre Association des familles Leblond Inc.. Beaucoup de travail a été fait au cours de cette année de consolidation. Certains projets ont vu le jour et d'autres arrivent à maturité et seront développés dans un avenir très rapproché.

Comme nous l'avions annoncé l'an dernier, l'année qui s'achève a permis de poursuivre certains dossiers et de consolider nos actifs. Le recrutement s'est poursuivi et nous comptons actuellement plus de 360 membres dont environ 300 sont des membres actifs et parmi ceux-ci 7 membres à vie. Nous continuons à favoriser le bouche à oreille afin de recruter nos membres car nous sommes convaincus de la durabilité d'une telle approche. Le Conseil d'administration a procédé à la nomination de Michel Leblond (#101), de Beauport, comme administrateur en remplacement d'un membre démissionnaire.

Le Conseil d'administration a tenu une réunion à Chicoutimi en mai 1992 afin de rencontrer les membres du comité régional de la Région 03 (Saguenay, Lac-St-Jean, Charlevoix, Côte-Nord). J'aimerais remercier tous les membres de ce comité et, en parliculier Gaétan (#123) de La Baie et Yvan Bérubé(#145) de Chicoutimi, pour leur bon tarvail d'organisation.

Notre secrétariat, sous la bienveillante gouverne de Manon (#4) de Ste-Foy, a effectué un travail gigantesque pour ce qui est du recrutement, des mises à jour, des réunions, etc. Je remercie chaleureusement Manon pour son dévouement à l'Association. J'ose espérer qu'elle pourra être secondée dans son travail par d'autre gens dévouées.

Le comité des finances, dirigé par Normand (#116) de Robertsonville, a procédé à la normalisation de la tenue des livres. Notre bilan financier au 31 mai 1992 vous sera présenté un peu plus tard. Merci Normand.

Nous avons vu naître, cette année, le comité des communications et de la publicité. C'est votre vice-président, Jean-Claude (#3) de St-Georges, qui en a pris la direction. Une première communication est parvenue aux gens d'affaire et aux professionnels du patronyme Leblond afin de susciter de leur part une commandite. Jean-Claude s'est également occupé du comité des mises en candidatures pour les élections lors de la présente Assemblée générale annuelle. Merci Jean-Claude.

Le comité du Journal a poursuivi son merveilleux et laborieux travail afin de vous présenter quatre parutions qui ont certainement captivé votre curiosité intellectuelle. Deux nouveaux membres se sont ajoutés, Jocelyn Rodrigue (#186) de Black Lake et Suzie (#217) de Charlesbourg. Vous avez tous pu apprécier la qualité du contenu de notre Journal. Je remercie particulièrement le président de ce comité, André (#113) de Beauport.

Votre trésorier, Normand(#116), et son épouse Cécile, ainsi que Jacques (#307) de Montréal-Nord ont participé au 9me Congrès de la Fédération des Familles-Souches Québécoises qui s'est tenu à Laval. Vous avez su apprécier le compte-rendu qui en a été fait dans notre Journal.

De nouveaux services sont apparus en cours de la dernière année. L'Association a fait procédé à la confection de nos Armoiries par la Maison des Ancêtres. Nous pouvons tous maintenant nous identifier aux familles Leblond, soit en arborant l'épinglette ou en exposant nos Armoiries sur plaque automobile ou sur plaque laminée. De plus chacun peut se procurer son Titre d'ascendance.

La prochaine année sera une année d'expansion et de pénétration dans les différentes régions qui n'ont pas encore été visitées. La régionalisation de notre Association se fera dans le respect et la compréhension des membres et des futurs membres de ces régions. Nous prévoyons pouvoir allouer à chaque région un certain budget leur permettant de couvrir leurs frais d'administrations. Rêvons à une Association composée de 11 regroupements régionaux car c'est pour bientôt. Nous pouvons également nour interroger sur notre implication personnelle dans l'Association car de grands défis s'en viennent, comme un Grand Rassemblement et un Voyage en France. Du sang neuf sera toutefois le bienvenu dans nos différents comités.

En terminant, j'aimerais vous confier que je suis très fier d'être le président de votre Association et que vous m'avez permis, à ce titre, de vous représenter auprès des autres associations. Je vous remercie de la confiance que vous m'avez témoignée. Je termine ce mandat en disant, au nom de tous les membres du Conseil d'administration, "Mission accomplie". En avant les Leblond!

Leblondement vôtre,
Denis Leblond, président


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Mot du président, volume 4 No 1

Quel plaisir pour moi de pouvoir être en contact avec plusieurs d'entre vous. Les semences commencent à porter fruits et quels beaux fruits! La régionalisation de l'Association fait de grands pas avec la formation du comité de Montréal, et, bientôt d'autres régions seront visitées.

Vous trouverez dans ce bulletin un "Spécial St-Lazare" où nous avons eu la chance d'être invités à fraterniser avec une de nos belles grandes familles, qui a su organiser une très enrichissante rencontre. Merci aux Leblond de St-Lazare!

Je profite de l'occasion qui m'est offerte pour vous souhaiter, au nom de tous mes collègues du Conseil d'administration, une très joyeuse période des Fêtes et nos meilleurs voeux de succès, de prospérité et d'amour fraternel pour la Nouvelle Année. Unissons-nous et multiplions-nous afin que toujours plus de Leblond, de sang, d'alliance et de coeur, puissent se nourrir à la même table que nous en joignant notre chaleureuse Association des familles Leblond Inc.

Leblondement vôtre,
Denis Leblond, président


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Notes biographiques de René Leblond et d'Antoinette Dufour, volume 4 No 2

René est né en 1913, le 13 de juin. Ses parents sont Amanda Savard, épouse d'Ernest Leblond.

La famille Leblond demeure, à cette époque, à St-Siméon, en basse-ville, dirons-nous, à la Rivière-Noire. C'est tout près de l'endroit où demeuraient Michel Imbeault et Rosaria Leblond ainsi que la famille Harvey. Comme on peut voir, les gars et les filles n'allaient pas chercher bien loin pour se trouver des conjoints.

Parlons maintenant des études de René. On sait que René savait lire; je l'ai souvent vu lire le journal, l'après-midi sur la galerie. Mais pour ce qui est de l'écriture, il savait tout juste signer son nom. A quoi cela est-il dû? Sans doute au genre de cours qu'il a suivi. Amanda, sa mère, a confié à Antoinette que René avait suivi "un cours de marmettes" (MARMETTE: oiseau aquatique, famille des alcidés; ne viennent à terre que pour nicher...etc.).

Décrivons sa journée d'école: tôt le matin, comme tous les élèves du temps, René part pour l'école avec son sac d'écolier sur l'épaule. Il se rend à son local de classe. Son local de classe c'est... une cabane sur le bord de la plage. En regardant par la fenêtre sans vitre de la cabane, comme tous les élèves il rève. Il voit le St-Laurent. Son problème à résoudre c'est courir et attraper les marmettes. Le diplôme auquel il aura droit: CHASSEUR.

J'ai toujours pensé que la chasse dans le sang de René tenait de l'hérédité des Leblond. Erreur! Ni Ernest Leblond ni le grand-père Leblond n'était particulièrement amateur de chasse ou de pêche. Toujours selon les témoignages d'Amanda Savard rapportés par Antoinette, ce serait le grand-père Savard qui aurait "débauché" René et lui aurait donné le goût de la chasse ainsi que le mode d'emploi. Un jour, donc, René se croit prêt pour la graduation et échange ses crayons pour un "douze" qu'il avait emprunté, en cachette, à son père.

Cependant il ne fait pas que s'amuser. Les temps sont durs. C'est la crise économique. (Nos récessions d'aujourd'hui sont bien faibles à côté de la crise des années 30.) Ernest subit les contre-coups de la faillite d'un élevage de renards dans lequel il a investi des économies. René part pour aller bûcher dans le bois. Ca fera des revenus pour la famille. La famille a perdu dans cette faillite la maison qu'elle possédait à la Rivière-Noire, puis s'est retrouvée à loyer, toujours à Rivière-Noire et s'est finalement retrouvée dans les "concessions" à Sagard.

A l'époque, les gouvernements pensaient que les chômeurs n'avaient pas autre chose à faire que défricher des terres de roches pour faire pousser des problèmes et ramasser de la misère pour, enfin, manger des maringouins. Autrement dit: SAGARD (aujourd'hui un milliardaire, Desmarais, y a son domaine).

Une histoire d'amour :

C'est à cette époque, dans ces circonstances, qu'est née une histoire d'amour entre René et Antoinette, au restaurant du coin de Sagard. (Il n'y avait pas de coin à Sagard, rien que la route, mais ça s'appelait quand même "le restaurant du coin".) Ce fut donc à ce restaurant qu'ils se rencontrèrent. Antoinette, accompagnée de sa soeur Elise (les filles ne sortaient pas seules, dans le temps) se voit offrir par René de l'accompagner jusqu'à la maison. Elle accepte.

Ce n'est pas une histoire d'amour sans complication qui commence. En effet, aux yeux de la famille Dufour, René Leblond n'est pas un prétendant digne d'Antoinette. Tout cela dû, peut-être, au pauvre "diplôme en marmettes" de René ou, plus encore, à des rumeurs entendues quelque part par quelqu'un à propos d'une cousine qui aurait eu, supposément, un enfant sans être mariée... Il fallait peu de chose à cette époque... Mais qui sommes-nous pour juger qui que ce soit?

Malgré les oppositions ils se rencontrent quand ils le peuvent. Car René va bûcher pour gagner de l'argent pour sa famille. La plupart des chantiers payants sont dans la région du Saguenay. Il est parti tout l'hiver. C'est loin. Entre-temps Antoinette, quand René est parti, essaie aussi souvent que c'est possible de rencontrer Amanda pour parler de René. Le dimanche, elle attelle le chien et parcourt des milles pour aller parler avec la mère de son amoureux.

Et, un hiver où René s'ennuyait particulièrement, il part de la région de Chicoutimi, à pied (il ne fallait pas dépenser l'argent gagné à bûcher) et se rend aux concessions. Une distance d'environ 80 milles, fin décembre. Je suis certain que l'épisode du roman MARIA CHAPDELAINE où François Paradis, dans une tempête, quitte le chantier à Noël pour aller retrouver Maria, n'est pas de la pure imagination mais devait se produire assez souvent parce que l'amour fait marcher les hommes...

Mais finalement ses parents interdisent à Antoinette de rencontrer René. Elle se soumet mais décide, malgré tout, de cesser d'être la servante, sans salaire, de sa famille et va travailler, comme aide-ménagère, dans des familles à Bagotville. Et, tout à fait par hasard, elle va rencontrer René, encore dans un restaurant où il y avait une table de billard. Encore une fois il lui offre de l'accompagner (c'est un truc qui marche encore). Elle accepte et, cette fois, plus rien ne les séparera, ni les pressions de son parrain qui lui écrit des lettres qui prétendent lui montrer le droit chemin, ni même une visite de sa mère venue spécialement à Bagotville de St-Siméon. Rien n'y fait et, le 26 août 1942, René et Antoinette s'épousent à l'église St-Alphonse de Bagotville.

Une vie errante :

Pendant presque dix ans le couple et l'enfant qui va naître le 13 juin 1943, exactement neuf mois et dix-huit jours après le mariage (à l'époque on ne perdait pas de temps) ne resteront fixés au même endroit guère plus qu'un an.

D'abord un voyage de noce sur un bateau de croisière de la CANADA STEAM-SHIP, de Bagotville à St-Siméon. Le lendemain matin qui a suivi leur arrivée à St-Siméon, René se lève tôt pour aller à la chasse aux canards sur le fleuve.

Ils reviennent à Bagotville pour y prendre leurs affaires et déménagent à Arvida où René travaillera pour l'Alcan. Les hommes qui travaillent à l'usine passent des examens médicaux pour savoir s'ils sont aptes au service militaire. René craint d'être enrôlé et quitte Arvida pour Bagotville, chez Paul Dufour, tout près de la Baie. C'est dans cette maison qu'Yvon va naître. Antoinette est assistée par le Docteur Tanguay. Ses "relevailles" se feront chez les Villeneuve de la rue Albert où elle fait quelques travaux pour assurer sa subsistance. René, lui, travaille dans les chantiers.

Ils retournent à St-Siméon, où il est plus facile de se cacher de la police militaire. De toute façon René est presque toujours dans les chantiers et ne vient que rarement dans le petit loyer qu'ils ont pris dans la maison d'Ulysse Girard, à Rivière-Noire. Vers 1946, Yvon étant un peu plus vieux, Antoinette accompagne René dans les chantiers où elle travaillera comme cuisinière. Les tourtières, les pâtés à la viande, les "beans" et les tartes à la farlouche, elle connaît ça.

Vers 1949, toujours en quête d'ouvrage, René s'en vient à Port-Alfred. Il travaille au port d'Alcan. Antoinette le rejoint et ils vivront dans le même loyer que la famille de Laurent Leblond, environ deux ans. L'hiver René part encore pour les chantiers.

Enfin: un chez-soi :

Comme ils ont réussi à mettre un peu d'argent "de côté" en 1950, René entreprend la construction d'une maison sur la cinquième rue à Port-Alfred. Pour obtenir une hypothèque de la Caisse Populaire il faut que le terrain soit payé et que le solage soit érigé et aussi payé. Ce qui fut fait: un solage en bloc de ciment (ça coûtait moins cher que couler du béton). La construction est supervisée par Wilfrid, un frère de René qui est habile ouvrier. Ils sont aussi aidés par Gabriel Leblond. C'est le deuxième étage qu'on va finir en premier, ce qui permettra de le louer pour amortir les frais.

L'année qui suit la construction René entre définitivement à l'emploi de l'usine de papier de la Consolidated Paper. Il y travaillera le reste de sa vie.

On peut constater que l'histoire de beaucoup d'hommes de cette époque se résume à savoir comment ils ont pu gagner leur vie. On peut se demander si c'est vraiment là "gagner sa vie" puisque ça vous mène plus rapidement à la mort.

René travaille donc pour payer la maison, élever ses enfants. Claude, Sylvie et Mario s'ajouteront à la famille. Le seul loisir de René c'est la chasse et la pêche. Antoinette s'est résignée.

René voit Yvon terminer des études universitaires et se marier en 1967. Malheureusement il n'aura pas la joie de voir son premier petit-fils, Alain, né en 1969. Au mois d'avril 1968, il est emporté par un infarctus.

Texte composé par Yvon Leblond, fils de René.

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Mot du président, volume 4 No 3

La grande région de Montréal se prépare à accueillir tous les Leblond de sang et de coeur à l'occasion de notre 5me Rassemblement. Le Comité organisateur, sous la présidence de Jacques Leblond (#307) de Montréal-Nord, a déjà accompli du bon travail et nous réserve une fin de semaine mémorable. Nous vous convions tous, membres et non-membres, Leblond ou de familles affiliées, à réserver la fin de semaine du 25 et 26 septembre 1993 afin de venir fraterniser avec nous.

En ce temps de festivité et d'identification nationale, nous souhaitons que tous les Leblond retrouvent cette identification familiale que notre Association cherche à développer par nos rassemblements régionaux annuels ainsi que par notre bulletin de liaison trimestriel. Parlez-en autour de vous afin que tous aient la même chance que vous de venir se nourrir de l'amitié, de la fraternité et de l'amour véhiculés lors de nos rencontres. La meilleur action que vous puissiez faire pour l'avancement de votre Association est de nous assurer de votre participation. Nous avons hâte de vous revoir ou de vous connaître tous.

Leblondement vôtre,
Denis Leblond, président


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Notes biographiques de Rosaria Leblond et de Michel Imbeault, volume 4 No 3

Rosaria Leblond est née à Saint-Siméon le 12 juin 1908 et a été baptisée le même jour. Elle était la troisième d'une famille de sept enfants. Son père s'appelait Ernest Leblond et sa mère Amanda Savard. Le 14 octobre 1926, elle s'est mariée avec Michel Imbeault en l'église de Saint-Siméon. De ce maraiage, elle a eu cinq enfants dont trois garçons et deux filles se nommant: Maurice, Pauline, Gemma, Rosaire et Raymond.

C'était une mère dévouée avant tout avec les siens à voir à leur éducation et à ce qu'ils ne manquent de rien. Grand-mère de quatorze petits-enfants et arrière-grand-mère de neuf enfants, elle aimait la vie. Pour elle, tricoter, faire du crochet, jouer aux cartes et aller au bingo étaient des loisirs qu'elle adorait; sans oublier un de ses passe-temps favoris qu'était la "fameuse pêche". Si vous ne trouviez pas Rosaria, il n'y avait pas de question à se poser pour la retrouver, un simple regarg vers le lac et on l'aperçoit en train de pêcher avec sa canne à pêche et son chapeau. Même qu'un jour, près d'une rivière, son mari venant la chercher lui faisait part qu'elle était accompagnée d'un ours à quelques pieds d'elle; qu'elle n'avait sûrement pas aperçu étant trop préoccupée par son passe-temps favori.

Farceuse en tout temps, elle aimait recevoir sa famille ainsi que ses petits-enfants. Depuis le décès de son époux en 1977, elle demeurait avec son fils Raymond. A l'occasion, elle se rendait au sous-sol où était la cordonnerie de son fils, pour y faire des emballages de chaussures afin de se rendre utile.

En mars 1988, elle meurt à l'âge de 79 ans et 9 mois chez son fils Maurice à Saint-Siméon. Voilà un bref résumé de la vie de Madame Rosaria Leblond.

Texte composé par Guy Imbeault (petit-fils).


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Rapport du président, volume 4 No 4

Notre quatrième année d'existence se termine sur une note des plus agréables, soit le couronnement des efforts mis au cours des dix derniers mois par le Comité organisateur de la région de Montréal. Ce couronnement sera également le point de départ de notre cinquième année, année qui consacrera l'Association des familles Leblond Inc. comme une association sérieuse et permanente.

La présente année a débuté avec notre merveilleux Rassemblement de Chicoutimi les 26 et 27 septembre 1992. Je tiens à remercier chaleureusement Gaétan Leblond (#123), son épouse Marie- Andrée Tremblay ainsi que que tous les membres de ce comité pour leur belle organisation et pour le bon succès de cette rencontre. La région du Saguenay a bien répondu à sa réputation d'être le "Pays de l'hospitalité". A cette occasion, le Conseil d'administration s'est enrichi d'un nouveau membre, soit Claire Leblond (#250) de Rimouski et a présenté à l'assemblée un administrateur nommé quelques semaines auparavant, soit Michel Leblond (#101) de Beauport. Malheureusement ce dernier a dû remettre sa démission, invoquant des raisons personnelles, en novembre 1992.

Le 29 novembre 1992, le Conseil d'administration a organisé, à la requête de Jacques Leblond (#307) de Montréal-Nord, une journée d'information à Montréal à laquelle ont participé plus de cent personnes. C'est ainsi qu'a pu naître le Comité organisateur de ce présent Rassemblement. Par la suite, le répertoire des adresses des Leblond des régions de Montréal et de Laval a pu être mis à jour. Le 6 juin 1993, votre président s'est rendu à Laval pour assister et participer à une réunion de votre Comité organisateur.

Le recrutement de nouveaux membres demeure une activité essentielle et s'est poursuivi; nous comptons plus de vingt-cinq nouvelles familles dans notre Association. Nous avons maintenant onze membres à vie et je félicite ces supporteurs inconditionnels des familles Leblond.

Encore cette année, j'ai pu compter sur l'expérience de votre vice-président Jean-Claude Leblond (#3) de St-Georges pour m'appuyer dans ma tâche. Il a présidé le Comité des mises en candidature ainsi que le Comité des communications et de la publicité.

Notre secrétaire Manon LeBlond (#4) de Ste-Foy a travaillé, pour une quatrième année consécutive, à la bonne gestion administrative de notre Association. Nous remercions sincèrement Manon pour tout son dévouement à notre cause.

La gestion de notre trésorerie fut confiée a Normand Leblond (#116) de Robertsonville et de meilleures méthodes comptables furent instaurées pour viser un meilleur contrôle de nos finances. Ses initiatives et ses idées ont toujours été bienvenues.

Que dire de notre directeur Jocelyn Rodrique (#186) qui possède beaucoup de sang Leblond dans ses veines. En plus de son travail au Comité du Journal, il est toujours près à accepter de nouveaux dossiers et il enveloppe nos rencontres de sa jovialité. Merci à tous ces gens.

Nous remercions aussi les autres administrateurs, Claire Leblond (#250) de Rimouski, Albert Leblond (#8) de Rimouski et Jacques Leblond (#307) de Montréal-Nord. Ce dernier a accepté avec enthousiasme la responsabilité de l'organisation de notre cinquième Rassemblement et a su s'entourer d'une équipe dynamique pour nous permettre, à nous tous, de pouvoir fraterniser en cette belle fin de semaine de septembre. Une telle organisation ne se fait pas sans heurt quand il faut confronter des idées mais l'important est la satisfaction d'avoir fait plus que notre possible pour la réussite de notre but. Je remercie chaleureusement Jacques, son épouse Lucille Riendeau ainsi que tous les membres du Comité organisateur.

Le Comité du Journal a poursuivi son laborieux travail et a su nous présenter quatre parutions aussi intéressantes l'une que l'autre. Encore cette année, la qualité du contenu a pu être appréciée. Je remercie sincèrement André Leblond (#113) de Beauport ainsi que les membres de son équipe. Ce Comité travaille actuellement à améliorer la présentation et à diversifier le contenu du Journal de l'Association des familles Leblond. Longue vie à notre bulletin de liaison.

De nouveaux dossiers ont été élaborés cette année dont celui de la Toponymie afin de doter le Québec d'un site identifié aux familles Leblond. Ce dossier est à suivre. Egalement un projet de régionalisation de notre Association a pris forme et vous sera présenté, un peu plus tard, sous la forme du Règlement #2 de l'Association . L'Association fut également visible par la distribution et la mise en dépôt de nos armoiries, journeaux et autres articles de promotion à la Boutique Le Mitan enr. à Ste-Famille I.O. ainsi qu'à la Maison de nos Aïeux à St-François I.O.

La présente année a été marquée par un esprit de continuité. Nous avons eu à faire face à un problème souvent rencontré dans toute organisation soit celui de la baisse de motivation secondaire à l'installation d'une certaine routine. Je souhaite de tout mon coeur que l'Association retrouve son dynamisme et son enthousiasme et ceci se fera par la venue de nouvelles idées et de nouvelles initiatives. L'Association a besoin de la foi et du dévouement des gens déjà en place, mais elle nécessite, de façon assez urgente, l'addition de sang nouveau afin de maintenir un rythme de croissance et de développement. Nous avons surtout besoin de l'implication des gens, que ce soit au niveau supérieur de l'administration, au niveau du Journal, au niveau des régions, au niveau du recrutement, au niveau de la promotion des articles d'identification, etc. Le Conseil d'administration a besoin de l'encouragement de tous les membres et la meilleure façon d'y parvenir est de se donner la main pour affronter les difficultés qui guettent toutes les associations. Il ne faut pas que l'Association soit l'Association d'un président mais bien une Association qui existe par et pour tous ses membres.

En terminant, j'aimerais vous faire connaître un secret que j'ai beaucoup de difficulté à cacher. Ce secret est le suivant: "Je suis très fier d'être le président de votre Association." Je remercie à nouveau tous ceux qui nous ont permis les réalisations actuelles, les administrateurs, les membres de tous les comités et vour tous, les membres. Je vous remercie de la confiance que vous m'avez témoignée et je vous redit: "En avant les Leblond".

Leblondement vôtre,
Denis Leblond, président
25 septembre 1993


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Mot du président, volume 5 No 1

C'est toujours une agréable tâche de prendre la plume (le clavier) pour pouvoir m'adresser à vous tous. Je profite de l'occasion qui m'est donnée, car nous n'avons pas toujours la chance et le plaisir de vous rencontrer tous, de vous souhaiter, au nom de tous les administrateurs et de leurs conjoints, une très heureuse période de festivité en ce temps privilégié du Temps des Fêtes. Nous vous souhaitons sincèrement de vivre à plein ces rencontres familiales et amicales tant attendues et tant recherchées de nos jours. La place n'est plus à l'individualisme mais bien aux chaleureux et nécessaires contacts humains. Nous encourageons ceux qui se sont quelque peu éloignés de leurs proches, quelque soit la raison, de faire un pas vers un rapprochement qui ne leur sera que profitable.

Vous serez peut-être bientôt contacté par des "inconditionnels" de l'Association qui effectuent un travail extraordinaire en région pour notre Association. Notre objectif, pour ce qui concerne la régionalisation de l'Association, est d'atteindre la création d'au moins cinq "Sections régionales" au cours de la présente année. Ceci nous permettra d'être plus prêts des gens, d'avoir une meilleure visibilité ainsi qu'une meilleure pénétration et une meilleure rétention auprès de nos membres. Nous vous encourageons à participer à ces Sections régionales car ce sera l'endroit privilégié pour vous faire entendre et amener vos suggestions indispensables pour le bien-être général de votre Association.

Si chacun se donnait la peine de promouvoir l'adhésion d'un nouveau membre au cours de la prochaine année, nous pourrions avoir, à ce moment, un nombre de membres suffisant pour penser faire un "Voyage généalogique" au pays de nos Ancêtres. Qu'en pensez-vous? Je vous remercie de vous soutien à l'Association des familles Leblond Inc.

Leblondement vôtre,
Denis Leblond, président


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Dispense de parenté, volume 5 No 2

Le droit canonique en vigueur au XIXe siècle interdisait le mariage entre consanguins jusqu'au quatrième degré de parenté, soit entre les enfants de cousins issus de germains. L'interdit s'étend au même degré pour les affins. Un veuf ne peut marier la soeur (premier degré d'affinité) ou la cousine (second degré) de sa femme, ainsi du reste jusqu'au quatrième degré. L'Eglise accorde néanmoins des dispenses de mariage. Dans les diocèses éloignés comme celui de Québec, le pouvoir de dispenses au second degré était délégué par permission spéciale (indult) aux évêques.

Le texte suivant nous fait connaître les différentes raisons de dispenses. Il faut garder à l'esprit que nous sommes ici il y a plus de cent-cinquante ans. Ce texte provient d'Alexis Mailloux, Manuel des parents chrétiens, p.215.

Les raisons ordinaires pour solliciter une dispense de parenté, sont:

1. lorsqu'une fille est pauvre et qu'elle ne peut trouver à se marier sans dot, et qu'un de ses parents consent à l'épouser et à la doter;

2. lorsqu'une fille est parvenue à un âge avancé, comme celui de vingt-quatre ou vingt-cinq ans, sans avoir trouvé de parti convenable pour se marier selon sa condition;

3. lorsqu'un mariage entre parents doit empêcher ou terminer des précès ou des divisions scandaleuses entre deux familles;

4. lorsqu'une veuve est chargée d'enfants qu'elle ne peut soutenir, parce qu'elle est incapable de faire valoir son bien, et qu'un parent consent à l'épouser pour la tirer d'embarras et lui aider à élever sa famille;

5. lorsqu'un père ayant un grand nombre de filles, se trouve hors d'état de les doter pour les marier à d'autres qu'à quelques-uns de ses parents;

6. le danger que court, pour ses moeurs, une jeune fille orpheline ou obligée d'aller en service, et qui trouve à se marier avec un de ses parents en état de l'établir convenablement;

7. la position d'une fille maladive ou disgraciée du côté de la nature, ou infirme, qui trouve à se marier avec un de ses parents, capable de la faire vivre.

par Denis Leblond (#1)


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Mot du président, volume 5 No 3

Le printemps ne fait que poindre à l'horizon que déjà nous devons penser à notre prochaine Assemblée générale annuelle qui se tiendra cet automne. Le désir des membres présents lors notre dernière Assemblée générale tenue à Montréal en 1993 sera exaucé. Comme nous avions de la difficulté à trouver des bénévoles pour organiser la rencontre à Québec, le Conseil d'administration s'est donc tourné vers une population de Leblond qui s'est toujours montré très attachée à l'Association; ce sont des gens remplis d'amour et de fraternité et qui n'ont jamais eu peur du travail. J'aimerais remercier sincèrement René Leblond (#210) de Buckland qui a accepté avec enthousiasme la présidence du Comité organisateur, ainsi que tous les Leblond qui ont accepté de faire partie de son équipe. Ils ont même accepté, de façon spontanée, le choix du Conseil d'administration de faire notre 6me Rassemblement des familles Leblond dans la région de Lévis-Lauzon. Venez les remercier personnellement lors de notre Assemblée générale.

Par les temps économiques difficiles que nous vivons, il est parfois pénible pour la grande majorité des associations comme la nôtre de pouvoir prendre de l'expansion car les gens ré-évaluent chacun de leur investissement, si minime soit-il. Tout ce nous souhaitons, c'est que chacun de nos membres soit bien identifié à notre Association, fier d'en faire partie, et fasse tout ce qui lui est possible pour lui permettre de passer la tempête. Rendez-nous la tâche plus facile en envoyant votre renouvellement le plus tôt possible, nous permettant d'éviter des frais administratifs accrus. N'oubliez jamais que sans vous, les membres, nous n'avons aucune raison d'exister comme administrateurs.

Leblondement vôtre,
Denis Leblond, président


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Rapport du président, volume 5 No 4

Chers cousines et cousins,

Notre Association est maintenant âgée de cinq (5) ans, ce qui lui assure un certain degré de maturité et de crédibilité. Chacun de nous tous, nous pouvons être fiers de notre regroupement de familles qui recherchent des valeurs sociales et familiales profondes d'amour, de fraternité, d'amitié, de partage, de tolérance et de compréhension. Malgré un contexte économique difficile, la grande majorité de nos membres ont renouvelé leur membership, ce qui indique l'importance donnée à notre Association, ce qui ne fut pas le cas pour plusieurs autres associations. Je tiens à vous féliciter pour votre enthouisiasme et votre support pour l'Association des familles Leblond.

La présente année a débuté avec notre Rassemblement de Montréal qui a permis à plus de 150 personnes de fraterniser ainsi qu'à l'Association de découvrir de nouvelles sources. Je dois remercier très sincèrement Jacques (#307) de Montréal-Nord ainsi que toute son équipe pour la très bonne organisation de cette fête. Je me dois également de remercier Jean-Claude (#3) , notre vice-président, qui a bien su me seconder en plus d'être responsable de la publicité et de la recherche de commanditaires. Je porte une attention particulière à Manon (#4), notre secrétaire, qui a su accomplir ces tâches parfois ingrates reliées à son poste pour une cinquième année consécutive. Une redistribution des différentes tâches administratives lui a permis de souffler un peu tout en permettant de mieux rationnalisé le travail.

La bonne tenue des livres de comptabilité, par Normand (#116), nous a permis d'améliorer notre équilibre financier, tel que vous pourrez le constater à la lecture des Etats financiers qui vous seront présentés plus tard. Normand a suivi de près les adhésions et les renouvellements ainsi que les différents comptes à payer. Merci pour tout le bon travail.

Concernant notre directeur, Jocelyn (#186), je tiens à le remercier particulièrement pour avoir accepté la responsabilité du Journal en remplacement d'André (#113), qui a dû se retirer temporairement. Malgré leurs trois jeunes garçons, Jocelyn et son épouse Josée ont fait preuve d'une disponibilité et d'un bénévolat importants et combien nécessaires envers l'Association.

Merci beaucoup à Claire (#250), de Rimouski pour son implication régionale, d'où jaillira bientôt une section régionale de notre Association.

Victorien (#355), est, pour beaucoup, à l'origine de l'organisation de notre Rassemblement 1995 à St-Philémon. Il a été notre bouée de sauvetage en se portant volontaire pour la formation du Comité organisateur actuel. Sincères remerciements Victorien. Je tiens à féliciter et à remercier René (#210), de Buckland ainsi que tous les membres de son comité pour les joyeuses retrouvailles que nous vivons dans ce bel endroit qu'est le Massif du Sud. Connaissant plusieurs de ces personnes, je puis vous assurer d'un grand succès.

Le Journal de l'Association, de facture trimestrielle, a su nous présenter des éditions toutes aussi intéressantes l'une que l'autre. Notre présentation fut peaufinée et son contenu fut enrichissant et diversifié. C'est un outil indispensable pour rejoindre nos membres et pour parler de nos membres ou d'autres personnes reliées à notre grande famille. Vos suggestions, vos idées et vos talents sont toujours les bienvenus pour améliorer notre journal.

Merci beaucoup à André (#386), d'Ottawa pour la merveilleuse organisation d'information du 21 janvier dernier.

Ce soir se termine le quinquennat que je m'étais fixé pour mettre au monde et rendre à maturité l'Association des familles Leblond Inc. C'était donc ma dernière année à la présidence et il est temps de mettre du sang neuf à la gouverne de notre Association afin de lui donner un nouvel élan qui la mènerea vers le XXIième siècle. Les objectifs que je m'étais fixés ont tous été atteints soit la formation de l'Association, la création d'un journal trimestriel pour rejoindre nos membres, la formation d'une équipe dynamique capable de prendre la relève, l'apparition d'un sentiment d'appartenance et d'identification aux familles Leblond caractérisé par nos vingt-quatre (24) membres à vie et la multitude des membres renouvelant depuis la fondation, le développement d'une association sérieuse et servant aux associations plus jeunes pour mieux se développer. Nous y avons retiré, ma conjointe et moi, beaucoup de satisfaction à lier des liens amicaux durables avec des gens merveilleux, soit au sein du Conseil d'administration, soit lors de nos rencontres annuelles, ainsi que lors des activités où nous avons eu le bonheur de représenter l'Association.

J'aimerais remercier certaines personnes qui m'ont soutenu et encouragé tout au long de ces années. Un remerciement particulier s'adresse à Mme Jacqueline Faucher-Asselin, première présidente de la Fédération des famille-souches québécoises qui a cru en moi et qui m'avait invité en 1983 à leur premier congrès. Jacqueline est une personne dévouée et engagée que tous auraient plaisir et avantage à connaître.

J'aimerais remercier chaleureusement Claude (2), qui m'a vraiment lancé dans l'aventure en m'invitant comme conférencier lors de la rencontre des Leblond de Buckland le 8 octobre 1988. Il m'a servi de tremplin et je tiens à le remercier sincèrement.

J'aimerais également remercier M. Sylvio Héroux, ex-directeur général de la Fédération des familles-souches ainsi que M. Michel Langlois des Archives nationales du Québec.

Je voudrais aussi remercier les vingt-cinq personnes présentes à la toute première rencontre en vue de la fondation de l'Association; plusieurs nous suivent depuis le début.

Josée et moi avons beaucoup apprécié connaître et partager avec Madeleine et Jean-Claude, un couple que nous aurions aimé avoir comme parents (ce n'est pas qu'ils sont âgés, mais ils sont bien gentils), mais que nous gardons comme amis sincères.

Je voudrais adresser des remerciements particuliers à ma conjointe Josée ainsi qu'à nos enfants Manon, Stéphane, Marie-Claude et Vincent pour tout le support, l'encouragement et l'implication qu'ils ont mis au service de l'Association. Pour la plupart, vous avez eu la chance de les cotoyer et vous savez qu'ils méritent ces remerciements.

Enfin, je remercie tous les membres de l'Association, inactifs et actifs, absents ou présents, pour la confiance et le support qu'ils m'ont apportés et qui ont tous mérité les quelques sacrifices que j'ai pu consentir pour la création d'une organisation, qui nous permettra à tous et pour aussi longtemps que Dieu le veuille bien, d'avoir la chance et la joie de partager nos valeurs traditionnelles si chères à nos coeurs.

Longue vie à l'Association des familles Leblond Inc.

Leblondement vôtre,
Denis Leblond, président


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Soulignons nos familles, volume 6 No 1

Nous aimerions vous rappeler que notre bulletin peut servir à faire connaître les événements heureux que nos différentes familles ont la chance de partager entre eux. A cet effet, nous serions heureux de publier les nouveaux(velles) venues dans la grande famille Leblond, les nouveaux mariages célébrés ainsi que les nominations importantes. Veuillez profiter de l'occasion pour faire parler de votre famille ou des gens qui vous sont chers.

Nous sommes aussi à la recherche des gens, dans toutes les régions, qui pourraient nous faire parvenir annuellement des copies des pages de leur bottin téléphonique concernant les Leblond. Ceci nous permettrait de tenir à jour notre Bottin des Leblond et ceci à moindre coût. Egalement, si vous êtes abonnés à votre journal local, nous recherchons des gens qui pourraient rechercher les notices nécrologiques concernant les Leblond et leurs familles et nous les faire parvenir afin que nous puissions en parler dans notre bulletin.

Veuillez adresser toute correspondance concernant ces sujets à l'adresse de l'Association à l'attention de Denis Leblond. Merci de votre collaboration.

par Denis Leblond (#1)


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La météo d'hier et d'aujour'hui, volume 6 No 2

La météo a toujours intéressée nos ancêtres ainsi que tous nos contemporains. En feuilletant le "Calendrier 1994 des sciences naturelles" de l'Union québécoise pour la conservation de la faune, J'ai eu le plaisir de découvrir certains faits et événements météorologiques qui ont marqués l'histoire du Québec. Plusieurs se souviendront de certains de ces événements. Dame Nature a de ces caprices auxquels nous, simples humains, devons nous résigner!

14 janvier : En 1671, la ville de Québec reçoit la première chute de neige de son plus court hiver, qui se terminera à la mi-mars. Sans froid (et sans frigo!) les vivres se perdent.

2 février : Jour de la marmotte! Une étude, effectuée sur une période de dix ans, révèle que la marmotte n'a eu raison que dans 30% des cas.

5 février : En 1923, record de froid pour le Québec, enregistré à Doucet (50 km à l'est de Val d'Or): -54.4 Celsius.

4 mars : En 1971, Montréal reçoit 47 cm de neige, paralysant la ville pendant deux jours.

19 mars : En 1964, la chute de neige record d'une journée pour le Québec se produit au cap Whittle, sur la Basse-Côte-Nord: 99.1 cm!

14 avril : En 1861, une crue soudaine du fleuve provoque l'inondation du quart de l'île de Montréal. On signale près de deux mètres d'eau dans certains édifices.

29 mai : En 1986, de violents orages frappent le sud du Québec. Des grêlons de la taille d'une balle de golf s'abattent sur Saint-Hubert. Dégâts: plus de 70 millions de dollars.

6 juin : En 1816, à Québec, les températures se situent sous le point de congélation du 6 au 10 juin et il neige souvent.

6 juillet : En 1921, Ville-Marie, au Témiscamingue, enregistre le record québécois de la température la plus élevée: 40.0 Celsius.

21 août : En ce jour de 1816, "l'année sans été", une tempête recouvre les champs de neige dans l'est du Canada.

25 septembre : En 1939, survient la chute de neige la plus précoce de l'année à Montréal: 0,8 cm.

17 octobre : En 1979, Shawinigan reçoit 206 mm de pluie, la plus forte précipitation enregistrée en une journée au Québec.

8 novembre : En 1819, d'immenses incendies de forêts noircissent le ciel entre Kingston et Québec. Pluie de suie sur Montréal.

16 novembre : En 1984, des précipitations acides près de Sutton présentent un niveau de pH de 3,4, soit le niveau d'acidité des pommes.

13 décembre : En 1983, s'abat la pire tempête de verglas en 22 ans sur le sud du Québec. Le déluge de 67 mm couvre tout de neige fondante, de glace et d'eau.

par Denis Leblond (#1)


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Chronique de l'année 1903, volume 6 No 3

12 janvier : Première réunion de l'académie Goncourt.

21 janvier : A l'Ancienne-Lorette, mariage de Maria-VIII Leblond, fille d'Jean-Paul et de Clarisse Sirois, et de J.-Arthur Boivin, fils de Joseph et de Julie Blondeau.

15 février : A Bonfield, Ontario, naissance de Marie-Albertine-Amanda-VIII Leblond, fille de Joseph et de Joséphine Tremblay.

22 février : A Trois-Pistoles, naissance d'Hélène-VIII Leblond, fille d'André et de Marie-Louise Godbout, future épouse de Charles-Eugène Morency.

22 février : Décès du compositeur autrichien Hugo Wolf; né le 13 mars 1860.

22 mars : Le gouvernement cubain laisse aux USA le port de Guantanamo pour en faire une base navale.

7 avril : Un incendie ravage le Grand Théâtre de la Ville à Paris.

4 mai : A Biddeford, Maine, mariage d'Eugène-VIII Leblond, fils de Ferdinand et de Marie Grondin, et d'Eugénie Tourigny, fille de Romuald et de Célina Deshaies-Tourigny.

8 mai : Naissance de Fernandel, comédien français; décédé le 26 février 1971.

8 mai : Décès de Paul Gauguin, peintre français; né le 7 juin 1848.

18 mai : A Biddeford, Maine, mariage d'Eugénie-VIII Leblond, fille de Joseph et de Marie Huard, et de Joseph Langelier, fils de Napoléon et de Louise Charbonneau.

23 mai : Première liaison téléphonique Paris-Rome.

30 juin : Une commission envoyée dans les Etats du Sud des USA témoigne sur les mauvais traitements réservés aux Noirs.

30 juin : Inauguration du musée Victor Hugo à place des Vosges à Paris dans la maison du grand homme.

14 juillet : A St-Léon-de-Standon, mariage d'Alphonse-IX Leblond, fils de Joseph et de Marie Boulet, et de Mérilda Trahan, fille d'Edouard et d'Hermine Fournier.

12 juillet : A Disraéli, naissance d'Austin-Léon-VIII Leblond, fils de Joseph-Louis et d'Ellen O'Malley.

16 juillet : A Trois-Pistoles, décès d'Eugène-VI Leblond, époux d'Adèle Côté.

19 juillet : Départ du premier Tour de France.

20 juillet : Décès de Vincenzo Gioacchino Pecci, pape sous le nom de Léon XIII, à l'âge de 93 ans; né le 2 mars 1810.

19 août : Aux USA, le président Theodore Roosevelt est favorable à l'application de la loi antitrust afin que les grosses entreprises se soucient du bien public. 1er septembre : Parution du dernier numéro de "La Fronde", quotidien entièrement réalisé par des femmes (France).

4 septembre : A Auburn, Maine, décès d'Ignace-VI Leblond, époux de Suzanne Voyer.

9 septembre : A St-Sylvestre, naissance d'Oliva-VIII Leblond, fils de Philias et de Florida Poulin.

15 septembre : A Trois-Pistoles, mariage de Thomas-VII Leblond, veuf de Cédulie Roy-Voisine, fils d'Honoré et de Geneviève Métayer, et d'Adèle Roy-Voisine, fille de Joseph et de Marie-Constance Lepage.

22 septembre : A St-Séverin, mariage d'Odule-VIII Leblond fils de Pierre et de Marcelline Savoie, et de Délia Vachon, fille de Jean-Baptiste et de Marie-Célanire Ferland.

24 octobre : A Val-Brillant (Matapédia), mariage de Marie-Louise-VIII Leblond, fille de Théophile et de Léa Leblond, et de Joseph Tremblay, fils d'Ernest et d'Elxina Pilote.

18 novembre : Les USA et le Panama signent le traité Hay-Bunau-Varilla qui accorde aux USA tous les droits quant à la construction, la gestion et la protection du canal.

24 novembre : A Ste-Claire, naissance de Charles-Edouard-IX Leblond, fils d'Edouard et de Joséphine Fauchon.

24 novembre : A Ste-Marie, mariage de Diana-VIII Leblond, fille de Georges et d'Alphonsine Gosselin, et d'Alcide Tardif, fils de Vital et de Délina Audet.

10 décembre : Lauréats des prix Nobel: Bjornstjerne Bjornson (Norvège), prix de littérature; Svante Arrhenius (Suède) prix de chimie; Niels Ryberg Finsen (Danemark) prix de médecine; Hendrik Henri Becquerel et Pierre et Marie Curie (France) prix de physique; William R. Cremer (Grande-Bretagne) prix de la paix.

17 décembre : Les frères Wright, Orville et Wilbur, réussissent leur premier vol à bord d'un engin propulsé par un moteur, un biplan nommé le "Flyer", après un échec le 14 décembre, à Kitty Hawk en Caroline du Nord.

par Denis Leblond (#1)


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Avis de décès, volume 6 No 4

Cette chronique vous fait connaître les personnes Leblond, de descendance Leblond ou affiliées à des Leblond qui sont décédées entre chacune des parutions du journal. Nous comptons sur nos membres afin qu'ils nous fassent connaître les décès survenus dans leur région en nous faisant parvenir une copie de l'avis de décès qui aura paru dans leur journal local.

EMILIA LABRIE : décédée à Palmarolle le 11 mai 1995 à l'âge de 76 ans et 5 mois, elle était la fille de feu Alexandre et de feue Marie Martel et demeurait à Palmarolle. Elle était l'épouse en premières noces de feu Raymond Leblond, fils de feu Joseph et de feue Amanda Grégoire, en secondes noces de feu Lionel Leblond, fisl de feu Joseph et de feue Amanda Grégoire et en troisièmes noces de Damien Brazeau. Elle était la belle-soeur d'Omer, Marie-Laure, Yvonne (#26), Alphonse (#14), Thérèse (#167), Rosaire, Philippe (#168) et Marie-Claire Leblond. Les funérailles eurent lieu à Palmarolle.

CECILE LEBLOND : décédée à Québec le 19 mai 1995 à l'âge de 83 ans et 11 mois, elle était la fille de feu Magloire Leblond et de feue Alvine Jobin. Elle demeurait à Québec. Elle était la soeur de Rolland, Evangéline, Jacqueline, Pauline, feu Arthur, feu Alphonse et feu Hector Leblond. Elle était la cousine d'André (#113) et de Michel (#101). Les funérailles eurent lieu le mardi 23 mai 1995 en l'église Stadacona de Québec.

ROLAND LEBLOND : décédé à Laval le 22 avril 1995 à l'âge de 74 ans et 8 mois, il était l'époux de feue Germaine Migneault et de feue Alice Morin et le fils de Joseph et de Victoria Lafrance; il demeurait à Laval. Il était le père de Gaston, Magella et Lauréat Leblond. Il était le frère de Marie-Rose Leblond-Veilleux, feue Rita Leblond-Collin, Simone Leblond-Dubé (#194), Thérèse Leblond-Collin, Béatrice Leblond-Caron (#341), Emmanuel Leblond, Marc-Aurèle Leblond, Richard Leblond, feu Gérard Leblond, Marie-Marthe Leblond-Caron, Jacqueline Leblond-Ouellet, Léopold Leblond (#132) et Marcel Leblond. Les funérailles eurent lieu le mardi 25 avril 1995 en l'église St-Cyprien, comté de Rivière-du-Loup.

MARIA BOULANGER : décédée à Lévis le 8 août 1995 à l'âge de 84 ans et 10 mois, elle était la fille de feu Joseph Boulanger et de feue Angèle Leblond. Elle demeurait à St-Damien. Elle était la soeur de feue Anna, feu Omer, feue Olivine, feue Antoinette, feu Joseph, feue Marie-Ange Boulanger. Elle laisse également un frère adoptif Omer Talbot. Les funérailles eurent lieu le vendredi 11 août 1995 en l'église St-Damien-de-Buckland.

PIERRE LEBLOND : décédé à Thetford Mines le 4 juin 1995 à l'âge de 39 ans et 4 mois, il était le fils de Maurice Leblond et de Rita Leblond. Il demeurait à Québec. Il était le père d'Anne Leblond. Les funérailles eurent lieu en l'église St-Noël-Chabanel de Thetford Mines.

par Denis Leblond (#1)


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L'année 2000, volume 7 No 1

J'aimerais vous soumettre une petite énigme concernant le concept d'année bissextile. Est-ce que l'année 1900, qui est divisible par 4, comme toutes les années qui finissent par 100, a été une année bissextile? Qu'en sera-t-il de l'année 2000?

A la première question, la réponse est non. L'année 1900 s'est composé de 365 jours et en voici l'explication. Comme une année solaire se compose de 365 jours, plus une fraction, tous les quatre ans on réunit les quatre fractions qui font, à très peu de chose près, un jour et l'on ajoute ce jour au mois de février de la quatrième année, qui est alors dite bissextile.

Toutes les années terminées par cent (cent étant divisible par quatre) devraient donc être bissextiles. Mais pour que ce système donne des résultats exacts, il faut que la terre mette exactement 365 jours et quart à achever sa révolution autour du soleil. Malheureusement, pour les astronomes elle met quelques minutes de moins à revenir à son point de départ.

Aussi, depuis la réforme grégorienne du calendrier pour que l'année civile concorde réellement avec l'année solaire, tous les cent ans on ne fait pas bissextile l'année terminée par deux zéros.

C'est pourquoi l'année 1900, qui cependant est divisible par 4, ne fut pas bissextile. Toutefois, comme ce compte n'est pas encore juste et que l'on retire un peu trop en retranchant un jour tous les cent ans, au bout de quatre siècles on comble cette petite différence en faisant bissextile l'année divisible par 4. C'est pourquoi si 1900 n'était pas bissextile par contre 2000 le sera.

Bien entendu, pour les Russes et les Grecs, qui n'ont pas adopté la réforme grégorienne l'année 1900 a été bissextile et la différence entre leur année et la nôtre s'accroîtra d'un jour en l'an 2000.

Ce texte est une adaptation d'un texte paru dans l'Ancêtre, revue de la Société de généalogie de Québec, Volume 22, No.1.

par Denis Leblond (#1)


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Archives familiales, volume 7 No 1

Chaque famille possède des documents d'archives qui sont très chers à leurs descendants. Nous comprenons le désir intense de conservation qui anime les gens possédant ces précieux documents. Nous sommes même fiers qu'il y ait encore des gens intéressés par ces différentes pièces d'archives. Ces archives se composent de vieilles photographies, de vieilles notices nécrologiques, d'articles de journaux anciens, de contrats de notaires, de vieux bails, certificats de localisation, de vieux reçus ou reconnaissances de dettes, de textes d'histoire familiale manuscrits, de vieux carnets de dates de nos grands-mères, etc.

Toutefois il serait certainement intéressant et important que notre Association ainsi que la généalogie de notre famille s'enrichissent de ces précieux renseignements qui, malheureusement parfois, se perdent à jamais entre des mains un peu moins proches de nos valeurs familiales. Plus notre riche passé sera connu, plus riche notre présent sera et millionnaire notre avenir deviendra. Nos enfants ont tellement à apprendre des actions de notre passé. Nos ancêtres n'ont pas fait que des mauvais coups, alors pourquoi pas faire connaître leurs bons coups.

L'Association des familles Leblond Inc. est très intéressée par ces archives. C'est pour cela qu'elle vous offre de conserver ces divers documents. Pour les familles qui désirent à tout prix conserver leurs propres archives, la technologie moderne leur offre différents moyens de duplicater des documents. La photocopie nous procure de magnifiques copies de textes rares ou anciens tout en protégeant les originaux. La technologie de la photocopie au laser permet de faire des copies presqu'exactes des diverses photographies anciennes que nous possédons. Ceux qui détiennent certains de ces documents d'archives sont donc invités à faire profiter l'Association et toutes nos familles Leblond de ces richesses en faisant parvenir soit les originaux, soit des photocopies à l'archiviste de notre Association afin que ses renseignements ne se perdent pas et qu'ils puissent servir à écrire l'histoire des Leblond.

Tout document identifiant un Leblond ou un descendant de Leblond est important. Il est toutefois important d'en préciser la provenance, l'endroit, la date approximative, les circonstances l'entourant ainsi que le propriétaire actuel. Il est également important que les différentes personnes soient identifiées. Si chacun fait un petit effort de collaboration, nos archivistes et nos journalistes auront du matériel pour écrire notre histoire dans une future Monographie des familles Leblond ou dans notre bulletin le Leblond d'Or. Faites-nous connaître votre famille, écrivez au sujet de vos ancêtres les souvenirs contenus dans vos mémoires. Comme individu, on est pas mal ignorant, mais en groupe nous connaissons beaucoup de choses, il suffit que chacun fasse connaître ce qu'il sait. Prenez la responsabilité de retourner dans vos vieux papiers personnels et contactez ceux de votre famille qui possèdent de tels vieux papiers et faites-nous-les connaître. Votre famille retirera beaucoup à être mieux connue.

Votre généalogiste familial, Denis Leblond (#1)


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Visage de Trois-Pistoles, volume 7 No 2

Le 6 mars 1943, Trois-Pistoles prenait un paysage nouveau; en effet, le Conseil municipale adoptait une résolution afin de donner un nom officiel aux rues de la ville. C'est ainsi que:

- la route nationale devient rue Notre-Dame,
- la route du Havre devient rue des Basques,
- la rue des chalets devient rue Charles-Denis-de-Vitré,
- la rue Saint-Jean devient rue Jean-Riou,
- la rue Desjardins devient rue Catherine-Leblond

Quelle ville n'a pas sa rue Notre-Dame? Les Basques sont venus il y a dejà longtemps sur les rivages du St-Laurent. Charles Denis de Vitré, membre du Conseil Souverain de la Nouvelle-France, est celui qui a réçu en concession par le marquis de Denonville, gouverneur de la Nouvelle-France, la seigneurie des Trois-Pistoles, le 6 janvier 1687; Toutefois il ne l'a pas exploitée. Jean Riou (Rochiou) et Catherine Leblond sont les seigneurs primitifs de cette seigneurie, l'ayant échangée avec le Sieur de Vitré contre une terre et habitation de St-François I.O. le 15 mars 1696. C'est à l'été 1697 que Jean Riou déménage avec sa famille à Trois-Pistoles, ce que explique que la ville de Trois-Pistoles fêtera son 300e Anniversaire en 1997, auxquelles festivités nous vous convions l'an prochain pour notre Rassemblement annuel 1997.

Denis Leblond (#1), généalogiste


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Famille Dion-Leblond de St-Édouard-De-Frampton, volume 7 No 2

Le coup de foudre en août, entre les deux paroisses, et le mariage deux mois et demi plus tard, voilà l'amorce de la famille Dion-Leblond de St-Edouard-de-Frampton.

Emile Dion a connu Anne-Marie Leblond chez un cousin à St-Malachie. Il venait de rencontrer sa belle de dix-neuf ans, de Ste-Claire, à l'âge de trente-neuf ans. Le temps pressait s'il voulait une relève. Donc pourquoi pas passer l'hiver ensemble. D'un commun accord, le mariage se célèbre le 21 novembre 1928 et, la bordée de neige le lendemain...

Treize mois plus tard naissait la première fille, puis suivie d'une deuxième, d'une troisième et d'une quatrième. Ultimatum du père Dion: "Si le prochain, c'est encore une fille, je vends." Sans mot dire, Anne-Marie lui fait non pas un, mais deux beaux garçons quelques années plus tard, garçons qui se suivent d'un an et demi. Père comblé, Anne-Marie recommence sa bonne habitude de faire une fille, puis une deuxième et une troisième. Ce qui termine la famille en octobre 1948.

Famille de cultivateurs, travailleurs acharnés et courageux, le couple a passé à travers d'épreuves peu banales et a profité, jours après jours, des bonheurs d'une famille du temps, pendant trente-six ans et demi.

Depuis trente ans, Anne-Marie est au village, toujours occupée à faire des pièces d'artisanat pour ses neuf enfants, ses vingt-huit petits-enfants et ses vingt-deux arrière-petits-enfants; et ce n'est pas fini! Après avoir tricoté, cousu, brodé pendant qu'elle montrait les leçons à ses enfants ou leur faisait faire leurs devoirs, ou plus tard, pendant qu'elle gardait ses petits-enfantts, C'est encore un plaisir de faire toutes ces choses puisque la santé est encore au rendez-vous.

Etant donné que la famille s'agrandit toujours et que le deuxième étage de la maison n'en pouvait plus d'accueillir des petits enfants, depuis plusieurs années Anne-Marie reçoit toute la famille lors d'une banquet, le 26 décembre, à la salle paroissiale. C'est l'occasion rêvée pour célébrer les anniversaires de mariage et les événements spéciaux et de connaître les deux ou trois petits nouveaux qui arrivent chaque année. De plus elle profite de l'occasion pour donner à chacun un petit cadeau fait de ses mains.

Anne-Marie Leblond est une arrière-grand-mère de quatre-vingt-cinq ans qui en montre encore à ses enfants et qui est toujours heureuse d'accueillir chez elle les siens à n'importe quel moment. Elle est toujours prête à faire un petit voyage, lorsqu'elle en a l'occasion. Elle aime bien recevoir son entourage pour jouer aux cartes, ou aller leur rendre visite. Elle fait partie de Cercle des Fermières de Frampton et, jusqu'à maintenant, elle a participé aux expositions et a remporté des prix pour ses oeuvres.

Bref, par son attitude heureuse, elle apprend à ses enfants à bien vieillir et à profiter des beaux moments de la vie.

Notes du généalogiste (Denis Leblond): Emile Dion est né le 16 janvier 1890 à St-Edouard-de-Frampton et est décédé le 14 mars 1965 et inhumé à St-Edouard-de-Frampton. Il était le fils de Napoléon Dion et d'Adélaïde Patoine. Anne-Marie Leblond est de la neuvième génération descendante de Nicolas Leblond et de Marguerite Leclerc. Elle est la fille d'Alfred Leblond et de Léda Fauchon et elle est née 1er octobre 1909. Ils sont les parents de neuf enfants, 7 filles et 2 garçons, dont voici quelques coordonnées.

1- Madeleine, née le 14 décembre 1929, mariée le 27 juin 1956 à St-Edouard-de-Frampton à Paul-Emile Roy; ils ont 7 enfants.
2- Thérèse, née le 2 décembre 1931, mariée le 6 août 1955 à St-Edouard-de-Frampton à Ernest Deblois; ils ont 5 enfants.
3- Annette, née le 21 décembre 1932, est religieuse chez les Oblates Missionnaires de Marie-Immaculée.
4- Micheline, née le 27 septembre 1935, est religieuse chez les Oblates Missionnaires de Marie-Immaculée.
5- Gilles, né le 9 avril 1938, marié le 28 septembre 1963 à St-Malachie à Diane Patoine; ils ont 5 enfants.
6- Edouard, né le 15 novembre 1939, marié le 26 octobre 1964 à St-Edouard-de-Frampton à Réjeanne Girard; ils ont 6 enfants.
7- Simone, née le 2 janvier 1942, mariée le 28 juin 1980 à Shawinigan à Gilles Bureau; Gilles est père de 3 enfants.
8- Fernande, née le 5 avril 1946, mariée le 6 juillet 1968 à St-Edouard-de-Frampton à Denis Turmel; ils ont 2 enfants.
9- Jeanne-d'Arc, née le 26 octobre 1948, mariée le 17 juillet 1971 à St-Edouard-de-Frampton à Jean-Charles Beaulieu; ils ont 3 enfants.

Anne-Marie est la soeur de feue Clarisse Leblond, mariée le 29 mai 1923 à Ste-Claire à feu Eugène Prévost; de feu Paul Leblond, marié le 31 août 1927 à Ste-Claire à feue Rosa Fortier; de Léonard Leblond, marié le 23 novembre 1932 à Ste-Claire à Elise Fortier; de feu Rosaire Leblond, marié le 22 mai 1943 à Ste-Claire à Léontine Fortier.

Fernande me fait remarquer que Claude Guyon, fils de l'ancêtre des Dion, Jean Guyon, est témoin au mariage de Nicolas-I Leblond et de Marguerite Leclerc et que Marguerite Leclerc est la marraine de Marguerite Guyon, fille de ce Claude Guyon et de Catherine Collin. Les Leblond et les Guyon-Dion se sont donc croisés tôt dans notre histoire.

Anne-Marie a présenté trois oeuvres artisanales à l'exposition du Cercle des Fermières de Frampton au printemps 1995 et a remporté trois premiers prix dont un (un coussin en velour) sera présenté à l'exposition régionale à St-Bernard. J'ai appris qu'elle y avait remporté un prix et qu'elle devait être invitée à l'exposition provinciale à l'automne 1995. Sincères félicitations.

Fernande Dion-Turmel est la fille d'Anne-Marie Leblond-Dion (#414)

Par Fernande Dion-Turmel


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Avis de décès, volume 7 No 3

Cette chronique vous fait connaître les personnes Leblond, de descendance Leblond ou affiliées à des Leblond qui sont décédées entre chacune des parutions du journal. Nous comptons sur nos membres afin qu'ils nous fassent connaître les décès survenus dans leur région en nous faisant parvenir une copie de l'avis de décès qui aura paru dans leur journal local. EDMOND-JOSEPH LEBLOND : décédé à Gray, Maine le 7 juin 1961 à l'âge de 70 ans et 6 mois, il était le fils de feu Cyrille et de feue Léona Mercier et demeurait à Gray, Maine. Il était l'époux de, en premières noces, de feue Béatrice Fortin et, en secondes noces, de Lily Garneau. Il était le frère de feue Exilia, feu Donat, feue Marie-Anne, feu Joseph, feue Floride, feue Régina, feu Arthur, feue Maria et d'Albert LeBlond et le père de Julien-J. et Alfred LeBlond. Les funérailles eurent lieu le samedi 10 juin 1961 en l'église Sacred Heart d'Auburn, Maine.

JULIEN-J. LEBLOND : décédé à Lewiston, Maine le 17 octobre 1970 à 55 ans et 3 mois, il était le fils de feu Edmond-Joseph et de feue Béatrice Fortin et l'époux de Victoire Boucher. Il demeurait à New Gloucester, Maine. Il était le frère d'Alfred LeBlond et le père d'Anita-D., Irène, Roland-L. et Yvonne LeBlond. Il avait 5 petits-enfants.

VICTOIRE BOUCHER : décédée à Lewiston, Maine le 10 avril 1987 à 69 et 4 mois, elle était l'épouse de feu Julien-J., fils de feu Edmond-Joseph et de feue Béatrice Fortin, et la fille de feu August et de feue Alice Lepage. Elle demeurait à Lewiston, Maine. Elle était la mère d'Anita-D., Irène, Roland-L. et Yvonne LeBlond. Elle avait 6 petits-enfants et 2 arrière-petits-enfants.

MARIELLE ROY : décédée à Levis le 14 décembre 1995 à l'âge de 56 et 9 mois, elle était l'épouse de feu Robert Leblond, fils de feu Alphonse et de Yvonne Leblanc, et la fille de feu Léonidas et de feue Adéla Chabot. Elle demeurait à Buckland. Elle était la mère de Michelle, Manon et Suzie Leblond. Elle avait 6 petits-enfants. Elle était la belle-soeur de Rita (#130). Les funérailles eurent lieu le 18 décembre 1995 en l'église Notre-Dame-Auxiliatrice-de-Buckland.

BERNARD SIROIS : décédé au Costa Rica le 10 décembre 1995 à l'âge de 36 ans et 9 mois, il était le fils de feu Roland et de feue Noëlla Leblond et le conjoint de Marie-Line Laplante. Il demeurait à Ville Vanier. Il était le frère de Carol, Raymond, Daniel, Jean-Marie et Régine Sirois. Les funérailles eurent lieu le 19 décembre 1995 en l'église Notre-Dame-de-Recouvrance de Ville Vanier.

MARIE-ANTOINETTE LEBLOND : décédée à Québec le 28 décembre 1995 à l'âge de 88 ans, elle était la fille de feu Ludger et de feue Amanda Paradis et l'épouse de feu Maurice Guérin. Elle demeurait à St-Tite-des-Caps. Les funérailles eurent lieu le 30 décembre 1995 en l'église St-Tite-des-Caps.

CAMILLE VAILLANCOURT : décédé à Lac-Etchemin le 21 février 1996 à l'âge de 81 ans et 1 mois, il était le fils de feu Louis et de feue Exélia Drapeau et l'époux de feu Marie-Anne Leblond, fille de feu Omer et de feue Adrienne Roy. Il demeurait à Lac-Etchemin, anciennement de St-Bernard. Il était le père de Jean-Louis et Robert Vaillancourt. Les funérailles eurent lieu le 24 février 1996 en l'église St-Bernard de Dorchester.

MARIE LEBLOND : décédée à Trois-Pistoles le 7 juillet 1995 à l'âge de 93 ans et 6 mois, elle était la fille de feu Jean et de feue Marie Rioux et l'épouse de feu Léon Dumont. Elle demeurait à St-Jean-de-Dieu. Elle était la mère de Jean-Marie, Cécile, Théodore (#290), Eugénie, Anne-Marie et Véronique Dumont et la soeur de Jean-Baptiste et de nos membres feue Yvonne (#43), Ernest (#178) et René Leblond (#79).

ANNA LEBLOND : décédée à Taftville, Connecticut le 1er décembre 1995 à l'âge de 92 ans et 8 mois, elle était la fille de feu Jean et de feue Marie Rioux et l'épouse de feu Pierre Leblond. Elle demeurait à Taftville, Connecticut. Elle était la belle-mère de Léo-N. (#223), Lucille, feue Eliane, feu Gérard, feue Antoinette Leblond et la mère de feue Alice, Marie-Anne (#299) et Simonne Leblond, et la soeur de Jean-Baptiste et de nos membres feue Yvonne (#43), Ernest (#178) et René Leblond (#79).

JEAN-PAUL DOIRON : décédé à Lévis le 8 mars 1996 à l'âge de 60 ans et 9 mois, il était le fils de feu Hector et de Valéa Godbout et l'époux de Germaine Leblond, fille de feu Joseph et de feue Laura Asselin. Il demeurait à St-Gervais. Il était le père de Réjean, Ginette, Serge et Lisanne Doiron et le grand-père de 4 petits-enfants. Il était le beau-frère de Gérard Leblond, d'Omer, Marie-Laure (#169), Yvonne (#26), Alphonse (#14), Thérèse (#167), Rosaire, Philippe (#168) et Marie-Claire Leblond. Les funérailles eurent lieu le 11 mars 1996 en l'église St-Gervais-et- Protais, comté de Bellechasse.

VALÉRIEN LEBLOND : décédé à Matagami le 21 mai 1996 à l'âge de 72 ans. Il était le fils de feu Wilfrid et de feue Desneiges Thivierge et l`époux d'Antoinette Vachon. Il était le père de Rémi, Julie, Marcel, Jean-Marie, Pierre, Céline, Jacques, Joël et Renée. Il était le frère de Lucien, Rose-Sylvia, Edna, Aline, Léopold, Roland (#239), Bernadette, Gilberte, Lionel, Anita, Carmen, Gaétane, Claire-Hélène, Monique, Jean-Luc, Jean-Noël et Ronald Leblond. Il était l'oncle de Normand (#116), notre président.

par Denis Leblond (#1)


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Visiteur de France, volume 8 No 1

Les 14 et 15 décembre 1996, nous avons eu l'agréable surprise et l'immense plaisir d'accueillir chez nous de la visite inattendue de la France, en la personne de Monsieur Laurent Leblond, fils de Michel Leblond et de Jeanine Viel, demeurant respectivement à Honfleur et à Gonneville-sur-Honfleur en Normandie. Ils sont originaires de Versailles et leurs ancêtres sont de la région de Rouen en Normandie. Peut-être existe-t-il un lien entre nos deux lignées !

Michel et moi échangions des correspondances généalogiques depuis le printemps 1995. Il a appris l'existence de notre Association par un voyageur québécois à Honfleur, M.J. de Quimper. Il m'a offert ses services pour faire des recherches complémentaires en Normandie concernant notre ancêtre Nicolas Leblond.

Laurent est horticulteur de métier et pense venir s'établir dans un avenir prochain au Québec, suite à une expropriation de ses établissements horticoles d'Honfleur. Il est un personnage agréable, poli ouvert et chaleureux. Il est " très marrant " et il trouve " ben le fun " notre rencontre. Il nous laisse un bon souvenir de son court passage à Québec. Il en a profité pour devenir membre de notre Association (#432). Nous lui souhaitons la bienvenue dans les rangs de l'Association et une bienvenue chaleureuse au Québec si ses projets se concrétisent.

Par Josée et Denis Leblond (#1)


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Qui sommes-nous? Avis de recherche, volume 8 No 2

Nous cherchons à identifier les Leblond qui font parler d'eux dans les journaux dont la filiation ou le lien familial demeure imprécis dans notre banque de données qui serivra à la confection du Dictionnaire des familles Leblond. Si vous connaissez ces gens ou avez quelques renseignements que ce soit les concernant, que ce soit adresse, parents, employeur, dates de naissance ou de mariage, veuillez les communiquer à notre généalogiste, Denis Leblond, soit à l'adresse de l'Association qui apparaît sur ce bulletin, soit à l'adresse Internet de Denis Leblond qui est :
leblond@total.net.

A.R.1 - Dominique Leblond : conjointe d'Yves Jacques et belle-sœur de Gaétan Jacques (Manon Tremblay). Mentionnée au décès d'Adrien, alias Johnny, Jacques le 1er février 1997 à Thetford Mines.

A.R.2 - Marie-Josée Leblond : conjointe de Stian Kildal, petite-fille de feu Jean-Charles Dorval et de feue Irène Falardeau de Charlesbourg. Est-ce la fille ou la belle-fille de Denise Dorval ? Mentionnée au décès de " sa grand-mère " Irène Falardeau-Dorval le 4 mars 1997.

A.R.3 - Louise Leblond : conjointe de feu Maurice Blouin, frère de feue Cécile, Louis- Eugène, Thérèse, Fernande, Georgette, Micheline et feu Alex Blouin. Mentionnée au décès de sa belle-sœur Cécile Blouin (feu Raymond Simard) le 10 mars 1997 à Ste-Monique des Saules de Québec.

A.R.4 - Juliette Leblond : conjointe de feu Marcel Viau, mère de Réal, feu André, Pierre, Lise, Diane, Denis, Lyn et Linda Viau. Mentionnée au décès de son mari Marcel Viau le 31 octobre 1996 à Montréal.

A.R.5 - Jeannette Leblond : conjointe de X Pelletier et mère de neuf enfants. Mentionnée dans le Droit d'Ottawa le 4 janvier 1997 pour commémorer le 3ième anniversaire de son décès.

A.R.6 - Fernand Leblond : époux décédé de feue Marguerite Forsyth, fille de Rosario Forsyth et de Marguerite Gagnon, décédée le 3 janvier 1996 à Montréal (Hochelaga). Elle était la sœur de Gordon Forsyth et la mère de Karine Leblond. Fernand Leblond a eu cinq enfants d'un premier mariage qui sont Daniel, Réal, Yves, Johanne et Sylvie Leblond. Fernand est décédé le 11 décembre 1994 à Montréal.

Résultats des recherches :

Dans l'édition du Leblond d'Or, Hiver 1997, Vol.8, N°1, p.13, nous cherchions la filiation d'Adjutor Leblond ; une découverte fortuite nous l'a fournie. Il est le fils d'Adjutor Leblond et d'Aloysia Gauthier de Saint-Etienne-de-Beaumont, marié à St-Joseph de Lauzon le 31 mai 1927.

Par Denis Leblond (#1)


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Internet, volume 8 No 2

Pour nos membres branchés sur Internet, vous pouvez maintenant rejoindre l'Association des familles Leblond Inc. et son généalogiste à son adresse Email : leblond@total.net. N'hésitez pas à le faire si vous avez des questions, suggestions et commentaires.

J'ai déjà contacté un M. D. Mauroux, de France, qui m'a fait parvenir sa lignée Leblond qui remonte jusqu'en 1510. J'ai également contacté M. Hugh Winters, en Australie, qui me donne son ascendance Leblond à partir de son arrière-grand-mère Caroline Le Blond des Iles Jersey en Angleterre. M. Bernard Jouaux m'a fait parvenir une disquette contenant les noms de ses ascendants Leblond jusque vers 1640 à St-Hilaire le Chatel, en France. J'ai récemment rejoint M. Michel Dubé, de Lethbridge Alberta, qui est marié avec une Leblond et et dont l'arrière-grand-mère était Leblond.

Comme vous pouvez le constater, le réseau Internet nous permettra de multiples possibilités dont la généalogie n'a pas fini de profiter. Si vous possédez une adresse Email et que vous voulez la faire connaître aux membres de l'Association, vous n'avez qu'à me la faire parvenir à l'adresse Email ci-haut mentionnée. Mettons Internet à notre profit.

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Qui sommes-nous? Avis de recherche, volume 8 No 3

Nous cherchons à identifier les Leblond qui font parler d'eux dans les journaux dont la filiation ou le lien familial demeure imprécis dans notre banque de données qui servira à la confection du Dictionnaire des familles Leblond. Si vous connaissez ces gens ou avez quelques renseignements que ce soit les concernant, que ce soit adresse, parents, employeur, dates de naissance ou de mariage, veuillez les communiquer à notre généalogiste, Denis Leblond, soit à l'adresse de l'Association qui apparaît sur ce bulletin, soit à l'adresse Internet de Denis Leblond qui est : leblond@total.net.

A.R. 7 - Annie Leblond : conjointe de Sylvain Lamontagne et belle-sœur de Pierrette, Gervaise, Lauréanne, Donald, Noëlla, Céline, Gilles, Sylvie, Mario, Maryse et Christian Lamontagne. Mentionnée au décès de son beau-père Paul-Emile Lamontagne (Gertrude Tardif) le 9 avril 1997 à Arthabaska. (Courrier Frontenac, 12 avril 1997)

A.R. 8 - Manon Leblond : conjointe de Serge Auclair, fils de feu Honoré et de Rose-Alma Huard, et belle-sœur de feue Pierrette, Martine, Roger, Marguerite, Denise, Georgette, Marie-Blanche, Lise, Romain, Rhéa, Raymonde, Aline, feu Laurier, Léo et Noëlla Auclair. Mentionnée au décès de Pierrette Auclair à Thetford Mines le 11 avril 1997. (Courrier Frontenac, 19 avril 1997)

A.R. 9 - Isabelle Leblond : petite fille de Fernand Ratté et de Pauline St-Hilaire, fille de soit Denise, soit Jeannette ou soit Francine Ratté. Mentionnée lors du décès de son grand-père Fernand Ratté le 30 avril 1997 à Lévis. (Le Soleil, 1er mai 1997)

A.R. 10 - Suzanne Leblond : fille d'Adrien et de Gabrielle Chagnon, conjointe de Jean Provost, fils de Gérard et d'Alice Chandeloi. Elle est la mère de Madeleine, Diane et Lise Provost et la sœur de Denise Leblond. Suzanne est décédée le 18 février 1995 et fut inhumée à Ste-Angèle-de-Mérici de Saint-Léonard. Nous recherchons les parents d'Adrien Leblond. (Journal de Montréal, février 1995)

Par Denis Leblond (#1)


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Volume 8 No 4

Nous cherchons à identifier les Leblond qui font parler d'eux dans les journaux dont la filiation ou le lien familial demeure imprécis dans notre banque de données qui servira à la confection du Dictionnaire des familles Leblond. Si vous connaissez ces gens ou avez quelques renseignements que ce soit les concernant, que ce soit adresse, parents, employeur, dates de naissance ou de mariage, veuillez les communiquer à notre généalogiste, Denis Leblond, soit à l'adresse de l'Association qui apparaît sur ce bulletin, soit à l'adresse Internet de Denis Leblond qui est : leblond@total.net.

A.R. 11 - Maurice Leblond : conjoint de Johanne X, petite-fille de feu Roland De Blois et de feue Thérèse Laliberté. Mentionné au décès de Thérèse Laliberté, demeurant à Saint-Nicolas. (Le Soleil, 20 août 1997)

A.R. 12 - Diane Leblond : conjointe de Jean Gagnon, fils de Germain Gagnon et de Thérèse Turgeon. Mentionnée au décès de Thérèse Turgeon le 25 juin 1997 à Lévis. (Le Soleil, 26 juin 1997)

A.R. 13 - René Leblond : conjoint de Lise Chartrand, décédée le 17 décembre 1995 à Montréal, à l'âge de 52 ans. Elle était la mère de Pierre, Louise et Martin. Mentionné au décès de Lise Chartrand. (Journal de Montréal, décembre 1995)

A.R. 14 - Carole Leblond : conjointe de Louis Chabot. Mentionnée au baptême de Laurence- Elisabeth Chabot en octobre 1996. (Semainier de l'Ancienne-Lorette, 20 octobre 1996)

A.R. 15 - Andrée Leblond : conjointe de René Bourgault. Mentionnée au baptême de Camille- Marie-Elise Bourgault en octobre 1996. (Semainier de l'Ancienne-Lorette, 13 octobre 1996)

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Qui fête son anniversaire le jour de l'Halloween, volume 9 No 1

En fouillant dans mes fiches de Leblond, j'ai découvert que nous avons des gens dont l'anniversaire se fête le 31 octobre. J'ai même identifier une famille dont trois individus, sur cinq, sont nés ce même 31 octobre.

Débutons par cette petite famille de Thetford Mines. Il s'agit de la famille de Réjean-XI Leblond et de Ghyslaine Gagné. Dans cette famille, le jour de l'Halloween, c'est l'anniversaire de Ghyslaine Gagné née le 31 octobre 1948, de Julie Leblond née le 31 octobre 1975 et de Patrick Leblond né le 31 octobre 1979. Réjean est né le 21 avril 1949 et leur autre fille, Marie-Ève, le 7 juin 1977. Leur mariage a été célébré le 21 août 1971 à Thetford Mines. Réjean est le fils d'Omer-X Leblond et de Lucille Sylvain ; Ghyslaine est la fille de Lucien Gagné et d'Éliana Perron.

En poursuivant mes recherches, nous y retrouvons des membres de notre Association qui ont leur anniversaire en ce jour de l'Halloween :

#86 1946 Olivette Normand, épouse de Joseph-Albert Leblond
#94 1948 Monique Leblond, épouse de Reynald Leblond
#271 1950 Raymond Leblond, époux de Denise Morin
#327 1932 Bertrand Lepage, époux de Bertha Lagacé
#371 1942 Yvon Leblond, époux de Monique Desroches
#453 1917 Lucien Marceau, époux de Suzanne Leblond

Nous souhaitons à tout ce beau monde un heureux anniversaire, quoique en retard quelque peu. Nous espérons qu'ils parviennent à avoir beaucoup de plaisir même si l'Halloween est une fête un " peu macabre ".

Par Denis Leblond #1, généalogiste


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Les familles Roy, volume 9 No 2

En 1995 naissait l'Association des familles Roy d'Amérique et nous sommes très heureux de les accueillir parmi les différentes associations déjà existantes. Contrairement aux familles Leblond qui ont principalement trois ancêtres responsables de la propagation de leur patronyme, les familles Roy ont identifié plus de vingt (20) souches. Nous aimerions ici vous les faire connaître, juste par curiosité. Le nom de l'ancêtre est suivi soit de la province française ou de sa ville d'origine.

Antoine Roy dit Desjardins, de Bourgogne
François Roy dit Tintamarre, de Saintonge
Jacques Leroy, de l'Aunis
Jean Roy, de l'Aunis
Jean Roy ou Leroy, de Touraine
Jean Leroy dit la Cerène, probablement du Poitou
Jean Leroy dit la Pensée
Jean Roy dit Laliberté, de Bretagne
Jean-Pierre Roy, de Paris
Joseph Roy dit Chouigny, du Poitou
Louis-Étienne Leroy dit Lillois, de Lille
Mathurin Roy, de l'Aunis
Michel Roy dit Châtellerault, du Poitou
Nicolas Leory, de Normandie
Olivier Leory, du Poitou
Pierre Roy, du Poitou
Pierre Roy dit Poitevin, du Poitou
Pierre Roy dit Léveillé, de Paris
Pierre Roy
Siméon Roy dit Ody (Audy), de Normandie
Simon Leroy, du Maine
Yves Leroy, de Bretagne, Jean Roy dit Portelance, de Caen.

Pour ceux que cela intéressent, cette Association organise un voyage en France, un retour aux sources dans les plus belles régions de France, du 26 juin au 11 juillet 1998. Vous pouvez devenir membre de cette association ou vous informer du voyage à l'adresse suivante : Association des familles Roy d'Amérique, C.P. 6700, Sillery (Qué), G1T 2W2.

Denis Leblond (#1)


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Nouveau mariage, volume 9 No 3

Nous sommes heureux de vous annoncer le mariage de Laurent Leblond (#432) et de Sylvie Paquette qui sera célébré le samedi 18 juillet 1998 en l'église Ste-Dorothée de Laval. Leurs parents Monsieur et Madame Michel Leblond (#438) de Voisins le Bretonneux, France, et Monsieur et Madame René Paquette nous ont invité, Josée et moi, à aller partager leur bonheur. Nous serons là afin de veiller à ce que ce soit un bon départ pour cette nouvelle lignée de Leblond en Amérique car vous n'êtes pas sans savoir que Laurent a immigré au Québec en février 1997.

Au nom des membres de l'Association, nous leur souhaitons tout le bonheur qu'ils méritent et la " force " nécessaire pour faire plusieurs petits Leblond.. Félicitations à vous deux et à bientôt.

Josée et Denis Leblond (#1)


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Origine des lois sur les débits de boissons, volume 9 No 3

Un dénommé Jacques Boisdon, au nom prédestiné, est connu en Amérique pour être le premier aubergiste et cabaretier de Québec. Le 19 septembre 1648, le Conseil de la Nouvelle-France lui permettait " à l'exclusion de tout autre de tenir boutique de patisserie et hostellerie pour tout allans et venans ". Le Conseil élabora la plus ancienne législation relative à la tenue des auberges et des cabarets en Nouvelle-France. Boisdon devait faire sa demeure sur la place publique, non loin de l'église ; empêcher tout scandale, ivrognerie, blasphême ou jeu de hasard dans sa maison ; fermer son établissement, les dimanches et fêtes, pendant les offices religieux ; enfin, il était soumis aux ordonnances et règlements en vigueur pour le commerce. Ces quelques règles de base se retrouveront, par la suite, dans toutes les législations sur les auberges et les débits de boisson. Ce monopole lui a été accordé pour une période de six ans. (Référence dans le Dictionnaire biographique du Canada, Tome I, page 107-108).

Par Denis Leblond (#1)


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Renouvellement de votre adhésion, volume 9 No 4

Voici maintenant le temps venu de renouveller votre adhésion à l'Association des familles Leblond Inc.. Le 1er octobre est la date pour plusieur d'entre vous de remplir votre devoir principal de membre de notre Association, soit celui de confirmer votre abonnement. Vous rendrez la tâche plus facile en envoyant un chèque le plus tôt possible libellé au nom de l'Association des familles Leblond.

Cette année, la cotisation demeure à $24.00 par année, soit le même coût depuis 1993. Une particularité nouvelle est celle de pouvoir vous abonner pour plus d'un an en bénéficiant d'un tarif réduit soit : $46.00 pour 2 ans ou $67.00 pour 3 ans.

Vous pouvex éaglement devenir Membre à vie en envoyant un chèque $250.00 ou 5 chèque de $50.00, post-datés dans l'année de votre renouvellement. Vous serez ainsi assurés de toujours recevoir le Leblond d'Or et d'être un membre en règle. Nous avons déjà 67 personnes qui ont profité de privilège.

Il vous faut prendre note que les montants sont en dollars canadiens pour les résidents canadiens et en dollars américians pour les gens demeurant à l'extérieur. Cette différence est justifiée par des coûts postaux supérieurs pour l'envoi à l'étranger. Votre Association n'a pas de raison d'être autre que de servir ses membres , donc donnez-lui le plaisir de vous servir.

Votre Comité de renouvellement


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Mot du président, volume 10 No 1

Lors de la dernière réunion du comité directeur, nous nous sommes attardés sur le partage des tâches à exécuter durant le mandat 98-99. Comme il s'agit de bénévolat, on doit reconnaître le travail fait par chaque personne et pour cette raison je vais vous lister les responsables des différents comités: archive, généalogie et Fêtes de la Nouvelle France: Denis Leblond, bulletin de l'association: Jocelyn Rodrigue, recrutement et membership : Vicotrien Leblond, inventaire du matériel: Réjean Leblond, réunion annuelle 1999 et internet: Stéphane Leblond, photos: Albert Leblond, commandites: Francis Leblond, cartes de membres: Normand Leblond. Certaines tâches sont assumées par le poste détenu au comité directeur. Jean-Claude s'occupe des finances alors que Térèse apprivoise le secrétariat. Je remercie toutes ces personnes pour le travail qu'elles ont accepte.

Nous avons demandé, à la dernière réunion annuelle, qu'elles étaient les personnes intéressées par un voyage en France en l'an 2000. Dans le bulletin, on fait un sondage, lequel sondage nous indiquera le nombre de personnes intéressées. Suite aux résultats, nous déciderons des actions à prendre. Répondez le plus rapidement possible.

Normand Leblond
Président


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Mot du président, volume 10 No 2

Lors de l'assemblée générale annuelle de Ste-Marie en septembre 1998, nous avons parlé de l'organisation d'un voyage en France pour l'été 2000. Plusieurs personnes semblaient intéressées par le projet et vous aviez même déterminé la période la plus propice, soit le début de juillet. Nous avons fait une relance dans le bulletin précédent en demandant aux personnes intéressées de nous le faire savoir par écrit. Devant le peu de réponses reçues, nous avons demandé à quelques personnes dans les régions de vérifier l'intérêt de leurs membres pour le voyage. Jusqu'à maintenant, nous n'avons eu que très peu de réponses. Alors je vous redemande de nous signifier votre intérêt pour ce projet de voyage au pays de l'ancêtre. Dites-nous aussi si l'été 2000 vous convient et si le début de juillet est propice pour vous. Si vous n'avons pas reçu suffisamment de réponses, nous abandonnerons définitivement le projet ou nous le remettrons à plus tard, car il manquera de temps au comité pour organiser le voyage. Faites parvenir vos réponses à l'adresse de l'Association dans les plus brefs délais.

Leblondement vôtre,
Normand Leblond, président

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Plénière, volume 10 No 2

Lors du 15e congrès de la fédération des familles souches québécoises, il y avait possibilité d'aller à cinq ateliers. Chaque congressiste s'inscrivait le samedi à un atelier l'avant-midi et un autre dans l'après-midi. Les cinq sujets sont: Le patrimoine à domicile, les fêtes de la Nouvelle-France, le bulletin de liaison, recrutement et conservation des membres et le congrès mondial acadien. Voici un résumé de ces derniers.

Le patrimoine à domicile:

M. Christian Denis du musée de la civilisation a présenté un programme d'aide au public pour la conservation d'objets par le public. Il nous disait que le musée ne pouvait conserver tous les objets que les personnes voulaient lui donner car à l'heure actuelle, il en avait beaucoup. Donc pas de dédoublement dans les objets. On a parlé de patrimoine donné ainsi que les moyens et outils mis à notre disposition. De plus des gens peuvent nous informer. Faire une fiche d'identification pour chaque objet en identifiant le nom de l'objet, sa fonction, l'inscription sur l'objet ou le titre de l'oeuvre, le nom du fabricant ou de l'artiste, l'année de fabrication, les matériaux utilisés, les dimensions, une photographie, l'historique ou commentaire de l'objet et l'identification du propriétaire et la date. Le conservateur du musée peut répondre à toutes vos questions par le site internet. De plus, il y a un guide pratique au coût de $20.00, une brochure. Le patrimoine est ce que vous avez de plus précieux pour vous, vos valeurs, un témoignage significatif, un objet qu'une personne de la famille a fabriqué ou une photo, etc... Ces objets n'ont pas d'âge. Ça peut être une couverture qui vous tenait à coeur et que vous ne vouliez pas vous débarrasser. La conservations des photos devrait se faire avec du papier transparent de qualité ou le mot archive est écrit. Elle ne coûte pas plus cher qu'une autre car les albums qu'on achète au magasin avec une pellicule qui colle altère les couleurs et après plusieurs années la photo est détruite.

Par la suite Richard Dubé nous a expliqué ce qu'il a fait. Il a fait un gros travail pour organiser deux jours avec le dan. Sa famille était à Lac Drolet près de Mégantic, puis ils sont allés à Palmarolle et ensuite à Malartic en Abitibi. Il a fait ses deux jours de retrouvailles à Lac Drolet. Il a marché à pied le village en montrant les usines où son père a travaillé, la maison familiale, l'église où plusieurs ont été baptisés, etc. En plus de se remémorer des souvenirs et l'histoire, il a fait parler les aînés en montrant 270 photos et des biens que possédaient les grands-parents, le coffre de mariage de grand-mère, la montre de grand-père, la trousse de baptême des enfants qui a servi à certains petits-enfants, le marteau pince, la vaisselle, des pièces de tissus et des contrats. Ils ont fini par une messe des anges que les aînés ont chantée.

Vu la grande demande de photos de sa parenté et ne voyant pas comment il s'en sortirait, il a décidé de faire un vidéo. Il en a vendu 45. Chaque photo a été prise sur caméra durant 7 secondes avec un commentaire. Très bel ouvrage qui nous a été présenté. Félicitations à l'auteur. Çà vaut le coût d'être vu.

Fêtes de la Nouvelle-France:

Animé par Mélanie Laliberté et Nancy Bélanger costumées pour l'occasion, elles ont montré une joie de vivre hors du commun pour l'activité. L'activité se déroulera dans la basse ville de Québec du 4 au 8 août 1999. Une conférence de presse se fera le 20 mai et après un dépliant thématique sortira. Les points culminants seront le marché public, le concours oratoire, les cours du musée de la civilisation sur le patrimoine familial, les activités pour enfants, et la reproduction d'un mariage à l'ancienne. Si vous connaissez des personnes avertir la fédération pour retenir l'heure et l'endroit. On se dirige vers l'amusement et l'accueil ainsi que la façon de recevoir les gens. On va vers le port de costume, d'ailleurs le comité ira présenter un atelier pour promouvoir et faire des costumes le 22, 23, 24 mai 1999 aux Galeries de la Capitale. Il y aura une mise en scène sur les produits de la France, plus spécifiquement de la Normandie (bouteille, cidre, calvados). Dans les habits, il faut recréer le métier et s'habiller en conséquence tout en parlant si possible en vieux français ( ex.: j'étions au lieu de j'étais, roué au lieu de roi. Lisez sur les moeurs et coutumes et répondez aux questions. Pour le stationnement et le transport, rien n'est décidé. Le coût est de $1 50.00 taxes comprises. Une bannière a été préparée et commanditée par voyage Lambert. La documentation passera dans le journal.

Bulletin de liaison:

Cette partie a été animée par Gifles Bonneau. Un exposé a été fait dans la première partie et dans un deuxième temps une analyse. Le bulletin est un lien indispensable, le baromètre, il doit avoir une qualité et une teneur. Le mettre sur pied n'est pas facile et le talent d'histoire d'un archiviste aide grandement. La décision du format et du contenu doit être faite par le conseil. Une association ne peut vivre sans un journal, çà prend une bonne équipe qui se donne une politique rédactionnelle. Le contenu: le mot du président, le mot du rédacteur, chronique, rubrique, reportage, décès, naissances, anniversaires, nouvelles des représentants régionaux, généalogie, photos anciennes avec grosses photos. Parler des bâtisseurs, fournisseurs, des événements anciens, des épidémies, du déplacement des grand-parents, les origines, les voyages organisés, le rapport annuel, les membres annuels et à vie, liste de souvenirs. Le coût de la publicité et la traduction sont à envisager. La longueur des articles, le droit d'auteur, l'accord des personnes. Il a donné l'exemple d'un frère de Ste-Croix qui parlait des maîtresses qu'il a eues. Après explications c'étaient les maîtresse d'école.

Recrutement et conservation des membres:

C'est André Demers qui a animé ce thème. 26 personnes se sont inscrites dans l'avant-midi qui représentaient 22 associations de famille et l'après-midi 32 qui représentaient 24 associations. L'objectif était d'identifier collectivement les moyens les plus profitables pour recruter les membres dans un premier temps et de les conserver dans un deuxième temps. Avec le temps qui manquait, l'avant-midi a été consacrée au recrutement et l'après-midi à la conservation. La démarche consistait à identifier les moyens les plus profitables. Par la suite nous avons échangé sur les moyens et sorti les cinq moyens les plus profitables.

Le meilleur est le bouche à oreille durant les activités et par les événements sociaux. Lors de la présentation il faut être convaincu. Il faut téléphoner ceux qui sont intéressés à être membres et inciter les membres à recruter. Donner des abonnements en cadeaux, faire des activités où il y a plus de membres pour les inciter à rester dans l'association. Ce qui est le plus important c'est que chaque association devrait avoir son comité de recrutement. Se servir des comités régionaux, du journal, de pamphlet et des rassemblements.

39 moyens ont été sortis: Bouche à oreille, comités régionaux, téléphone, parents et amis, annonce dans le journal, envoi postale, présence aux activités régionales, contact personnel, célébration de centenaire, développement d'un sentiment d'appartenance, le journal de l'association, internet, rassemblement national, cibler les régions les plus importantes, bulletin paroissial, radio, télé- communautaire, un membre recrute un membre, banque de noms potentiels, brunch rencontre, pamphlet ou dépliant, intérêt généalogique, annonce d'une société généalogique, fiches généalogiques, résumé d'articles sur les ancêtres. Ça prend des administrateurs motivés et passionnés. On peut mettre en valeur les gens qui se sont démarqués, indiquer les patronymes dans le journal, utiliser le bottin téléphonique, participer aux événements sociaux, offrir des titres d'ascendance, personnaliser les communications écrites, faire des pièces de théâtre et laisser des fiches d'adhésion aux membres. C'est sûr que plusieurs points se regroupent mais le plus important de tous c'est le bouche à oreille.

Congrès mondial Acadien (C.M.A.):

Le congrès sert à tisser des liens solides entre le Québec et l'Acadie, c'est ce que le conférencier invité M. Armand Robichaud d'Acadie disait. Il a parlé de la fédération des familles Acadiennes. (F.A.F.A. ) homonyme de la F.F.S.Q. au Québec. Son histoire remonte en 1995. Il a présenté sa carrière généalogique acadienne. De plus, il a parlé du déroulement du congrès organisé par la communauté française. En 1994 le tout a donné lieu à une publication. Le prochain congrès a lieu en août 1999 et le prochain en 2004 ou 2005 en Nouvelle Ecosse. Cela a lieu à tous les 4 ou 5 ans. Il a parlé de la caravane qui partait de Québec, vers le Nouveau Brunswick, puis l'île Ste-Croix au Maine, la Nouvelle-Angleterre, puis les étapes de New York, Baltimore, Washington, Louiston. A l'heure actuelle, il y a 30 caravanes de confirmer. Comme les acadiens nous disaient dimanche matin, ne vous en faites pas avec le coucher pour ceux qui viennent, on est renommé pour être recevants et tout le monde va avoir une place à coucher. Promesse du comité.

Jocelyn Rodrigue


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Mot du président, volume 10 No 3

Notre association de famille ne fait pas partie des plus vieilles associations du Québec, mais elle s'est développée petit à petit et nous fêterons ensemble notre dixième réunion annuelle en septembre 1999 à Trois-Rivières. Notre association s'est développée au rythme où nous avons voulu qu'elle se développe. Certains gestes ont été plus marquants, qu'il s'agisse de la création de notre armoirie, de notre bulletin de liaison, des épinglettes et de nos t-shirts pour ne nommer que ceux-là. Ces années ont vu le nombre de nos membres fluctuer passablement. Il y a eu beaucoup de membres qui ont adhéré au cours des premières années, malheureusement plusieurs n'ont pas renouvelé, ce qui nous a amené à un nombre moyen de 190 membres. Selon les statistiques de la Fédération des familles-souches, 60% des associations ont entre 100 et 200 membres. Nous sommes donc dans le peloton de tête de ce groupe. Cependant, il ne faut pas se reposer sur nos lauriers. La routine et le laxisme sont nos pires ennemis. Pourquoi ne pas profiter de ce 10e anniversaire pour donner un élan nouveau au développement de notre association, d'abord par votre présence à la réunion annuelle et ensuite en faisant connaître notre association et en amenant une personne de votre entourage. Ce sont les membres qui forment une association et leur implication donnera le rythme à son épanouissement. Je vous souhaite donc une excellente réunion annuelle, notre dixième.

Normand Leblond


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Drummondville, volume 10 No 3

Voici la conférence que Marie-Paule Labrecque a donné sur la région de Drummondville lors du 15 e congrès de la F.F.S.Q. Tout d'abord, Drummondville est un lieu de rencontre et de tradition. C'est la rencontre des montagnes soit les Appalaches et le début de Piémont. Il y a aussi la rivière St-François du nom indien de Alcidenséka. Il y a un bassin qui recueille les eaux de trois lacs soient les lacs Memphrémagog, du Maine et d'un autre lac dont je n'ai pas compris le nom. Drummondville se situe dans les cantons de l'est. Elle est donc un des 95 cantons tout comme Grandham et Wickham qui font partie des cantons de l'est. Jusqu'à 1792, il n'y a pas grands changements. Bien avant l'arrivée des premiers colons dans la région de Drummondville, un peuple autochtone vivait bien paisiblement sur les bords de la rivière Saint-François. Le village d'Odanak, situé à quelques kilomètres en aval de Drummondville, fut détruit lorsque les Britaniques prirent possession de notre province en 1759. Aujourd'hui encore la présence des Abénaquis fait partie du patrimoine historique de Drummondville.

Le vrai début de Drummondville s'est fait au printemps de 1815. Ce fut une fondation exclusivement militaire, c'est-à-dire qu'on amène seulement des soldats. La Seigneurie de Sorel a été achetée par le gouvernement comme poste de surveillance. L'administrateur à l'époque était le gouverneur Sir Gordon Drummond. Il désigna le major Frédéric George Hériot pour installer un établissement militaire et agricole sur les bords de la rivière St-François afin de prévenir toute invasion américaine. Ce qui fait que Georges Frédéric Gériot, le corps armé des Voltigeurs et un régiment armé étranger venu de Suisse, d'Espagne, de la France, de l'Irlande, de l'Écosse, de l'Italie, de l'Alsace, de la Grande Bretagne et bien sûr du Canada ont peuplé cette colonie. L'armée paiera tout pendant cinq ans. En fin de compte, ça mettait un genre de verrou aux américains pour ne pas aller plus loin. C'était une zone de contact par les seigneuries et les comtés qui se pointent tout autour. La couronne donnait des terres aux soldats à la condition de défricher cette terre pendant un minimum de trois ans.

Les coutumes et les traditions sont transmises par les femmes. La première paroisse catholique à être érigée fut celle de St-Frédéric. Etant la mère de toutes les paroisses, les gens se recueillaient à tous les dimanches. Malheureusement, certaines personnes ne pouvaient traverser la rivière. Après discussion, on décida d'un lieu bien précis où les gens se recueilleraient. On installa un drapeau et lors du recueillement durant la célébration, on levait le drapeau. C'était la manière de suivre la messe pour ceux qui ne pouvaient passer. Vu qu'il y avait beaucoup de catholiques et d'anglicans, deux églises furent construites. La première catholique du nom de St-Frédéric et la deuxième anglicane du nom de St-Georges. St-Frédéric était situé en biais avec St-Georges. Il y eu même une polémique sur le nom que porterait l'église, car les deux religions voulaient porter le nom de St-Georges. C'est le roi d'Angleterre qui se réservait le privilège de faire et de nommer les paroisses, a Drummondvifle, on retrouvait des familles composées c'est-à-dire que le père était anglican et la mère catholique. Pour ne pas avoir de discorde, les garçons étaient élevés dans la religion du père et les filles dans la religion de la mère. On a l'impression que c'est le droit anglais qui prévaut en 1822, même si on héberge un prêtre. Monseigneur Plessis enjoint les prêtres de prendre le titre de missionnaire et non de curé. En 1855, une loi est adoptée qui établit des chemins et des municipalités, d'où l'augmentation rapide de paroisses. C'est en 1857, que le droit français fut acquis dans les cantons de l'est.

La région était peuplée par des francophones venus de Sorel, mais aussi par des Allemands (ne prenons que les familles Pall et Reish). Les gens qui s'installaient suivaient la rivière St- François. Les premiers bâtiments à être construits furent en premier l'hôpital, en deuxième l'église anglicane construite en 1822 et en fonction en 1823 et l'école en troisième. Il y eut des missionnaires jusqu'en 1858. Il y eu cinq à six missionnaires avant d'avoir le premier résident qui s'appelait John Holms. Ses frais étaient payés par des fonds de l'armée soit disant pour venir en aide aux abénakis. Ensuite les prêtres ont desservi jusqu'à Sherbrooke. On parle donc de tradition à Drummondville, tradition culinaire par la dinde et les atocas. Tradition de la foi par les églises. Tradition Desjardins par William Shepper, amateur d'horticulture, avec ses parterres magnifiques. Tradition culturelle, par son festival folklorique de danse. Au début de la colonie, il y eut une évolution lente mais si nous regardons aujourd'hui, le tout a changé, la mentalité des gens est simple avec une large ouverture d'esprit.

On remercia Mme Labrecque et lui remit quatre volumes de la fédération.

Jocelyn Rodrigue


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Mot du président, volume 10 No 4

Mes premiers mots s'adressent à Normand (116). En mon nom personnel et au nom de tous les membres, je veux te remercier pour ta grande implication. Tu as su très bien tenir les cordeaux à la présidence pendant ces cinq années. Je pourrais te qualifier d'un gars très sympathique, qui a beaucoup d'entre gens, sociable, accessible, un leader quoi! Bravo pour tout Normand.

Le conseil d'administration a changé le 26 septembre à l'assemblée générale. Jean-Claude (3) et Albert (8), deux membres présents sur le C.A. depuis le tout début, viennent de quitter leur fonction ainsi que Victorien (355) après six ans de dévouement. Mille mercis pour votre implication et pour tout le travail que vous avez accompli et que vous continuerez à accomplir dans vos régions. Sachez que sans des gens comme vous, l'association ne serait pas rendu là où elle est maintenant. On ne quitte pas sans avoir un petit pincement au coeur, si vous vous ennuyez trop, vous pourrez toujours revenir sur le C.A. HA! HA! Bienvenue à nos quatre remplaçants(es), Sylvie (425), Jean- Louis (459), Michelle (362) et René (210). Merci de vous engager. C'est une bonne preuve que l' association vous tient à coeur.

Voici les membres du C.A. et leurs fonctions:

_____Réjean Leblond (405)_________Président
_____Sylvie Leblond (425)__________Vice-présidente
_____Térèse Leblond (415)_________Secrétaire
_____Jean-Louis Leblond (459)______Trésorier
_____Denis Leblond (1)____________Généalogiste-Archiviste
_____Jocelyn Rodrigue (186)________Administrateur
_____Normand Leblond (116)_______Administrateur
_____Jacques Leblond (307)________Administrateur
_____Michelle Leblond (362)________Administratrice
_____René Leblond (210)__________Administrateur
_____Sylvie Leblond (425)__________Administratrice Région 02

Merci à vous d'avoir bien voulu renouveler votre mandat et bienvenue aux nouveaux. Je voudrais aussi remercier Stéphane (468), fils de Denis (1), et son équipe de nous avoir accueillis à Trois-Rivières pour le 10e congrès. Très belle rencontre. Félicitations ! A noter, la présence de plusieurs jeunes entre I an et 20 ans. C'est toujours plaisant de voir la relève. Aussi, la présence de 4 générations au brunch du dimanche soient; Bernadette Leblond (53) épouse de Lucien Leblond, Madeleine L. Labrecque (460), Manon Labrecque et sa petite fille Geneviève âgée de 14 mois.

N'oubliez pas que le journal est notre meilleur moyen de communication. Si vous avez des choses à dire, n'hésitez pas à écrire un petit article. Le journal est publié quatre fois par année, sous l'habile coordination de Jocelyn Rodrigue. En passant, bravo pour votre excellent travail, c'est beaucoup d'heures de préparation. Vous trouvez peut-être que je fais beaucoup de remerciements, mais je crois qu'il faut être conscient que sans l'implication de nos membres, l'Association ne peut pas survivre. Les élus ne cognent pas à la porte pour combler un poste de président. J'espère que je serai à la hauteur, une chose est sûre, je ferai mon possible. Merci de votre confiance.

Leblondement vôtre,
Réjean Leblond (405)

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Trois-Rivières 1999, volume 10 No 4

Comme vous le savez, la réunion annuelle a eu lieu à Trois-Rivières le 25 et 26 septembre 1999. Je vais vous entretenir de ce qui s'est passé durant cette fin de semaine. Je suis arrivé vers 9h00 et le temps que le comité directeur se prépare, les personnes se présentaient déjà. Ce fut le moment d'échanger et de voir des personnes que l'on n'avait pas vu depuis longtemps. Donc, après les salutations d'usage et les mots de bienvenue, l'inscription s'est faite durant tout l'avant-midi. 115 personnes se sont inscrites.

Une messe fut célébrée à 13h00 par Pierre Leblond des Pères Maristes. Après cette dernière, un premier départ d'autobus pris la route pour visiter la ville de Trois-Rivières. Stéphane Leblond a pu nous démontrer ses talents d'animateur de visite touristique. Ayant fait une très bonne recherche historique, il nous informa sur différent lieu du centre ville de Trois-Rivières. On dit de cette ville que s'en est une de poésie, car plusieurs édifices publics ont sur leurs façades des vers ou de la poésie pour expliquer le lieu. D'ailleurs un festival de poésie s'y déroule chaque année.

Passant par un itinéraire bien organisé, nous avons pu voir le site de l'ancienne prison, le musée des Ursulines, le port réaménagé à neuf dernièrement, la cathédrale de Trois-Rivières de la paroisse Immaculée-Conception avec ses 35 magnifiques vitraux et je peux vous assurer que cette halte valait la peine d'être faite que pour voir ses vitraux. Si vous passez par là, ne les manquez pas. Quelques anecdotes nous ont été racontées comme celle du pont de Trois-Rivières. Comme certains le savent, Maurice Duplessis, ancien premier ministre de la province et député de cette circonscription durant 35 ans en a fait l'inauguration. Dans son discours, il dit: "Ce pont est aussi solide que l'union nationale ". Malheureusement un an plus tard, le pont s'effondra.

On a pu voir une maison qui ressemblait à celles qu'il y avait dans le vieux Trois-Rivières au début de la colonie. Il ne reste que celle-ci, car un feu a ravagé tout le centre ville, ravageant tout sur son passage. On dit que le feu aurait été mis par des jeunes qui jouaient au ballon et ce dernier est entré dans une grange ou un garage et les enfants ne voyant pas le ballon ont allumés une allumette pour mieux voir et le sinistre aurait commencé de cette façon. Nous avons vu la maison où demeurait le premier ministre ainsi que sa statue qui y est érigée et bien d'autres choses d'ailleurs.

A 16h30, Denis (1) nous a présenté une conférence sur la génétique et le lien de celle-ci avec la généalogie. Il a expliqué comment les chercheurs étaient parvenus à décortiquer les cellules et à faire un lien précis soit avec le sexe, la maladie, les déformations, etc. Après sa conférence, un cocktail fut servi et le souper suivit. Durant le souper, un mot de bienvenue du président du comité organisateur, Stéphane Leblond fut dit et il en profita pour présenter son comité. Par la suite, le vice-président Jocelyn Rodrigue en remplacement du président Normand Leblond qui était pris pour des raisons professionnelles, a remercié tout le monde. J'ai présenté tout le conseil d'administration. J'ai fait le lancement officiel de l'album du l0 ième anniversaire de l'Association, j'ai pu remettre une armoiries laminée à Stéphane Leblond, président du comité organisateur de la fête. Puis, j'invitai tout le monde à signer le registre officiel. Par la suite, Stéphane prit la parole pour remercier les membres fondateurs. Il en profita pour leur remettre une petite voiture antique avec porte crayon. Stéphane a su choisir un cadeau de bon goût. J'ai repris la parole pour demander aux membres fondateurs, ceux ou celles qui n'ont pas manqué une seule réunion depuis le début. Une bonne main d'applaudissemcnt s'en suivit et j'ajoutai que l'association leur donnera un certificat de membre fondateur.

Nous en avons profité pour souligner la fête de Clément Beaudoin qui a eu 77 ans. De plus, nous en avons profité pour féliciter Josée et Denis (1) pour leurs 12 ans de vie commune. "Douze ans aujourd'hui" pour le citer. Bravo! Une soirée dansante s'en est suivie avec animation que plusieurs ont appréciée. Nous avons également eu droit à un petit spectacle donné par Johanie Rodrigue, 4 ans , qui dansa sur un rythme de danse disco soit "Grease" ou Brillantine. Les gens ont bien aimé sa prestation. La soirée se termina vers 1h00 du matin.

Le dimanche, il y eut l'assemblée générale annuelle suivie d'un brunch. Une chose spéciale s'est passée lors de ce brunch. C'était une première. Quatre générations d'une même famille étaient présentes lors d'un rassemblement annuel. C'est la famille de Bernadette Leblond et Lucien Leblond. Bernadette était accompagnée de sa fille Madeleine Leblond, sa petite-fille Manon Labrecque et de son arrière-petite-fille Geneviève Gagnon. Quel beau moment de voir cette belle famille réunie ensemble. Vous avez pu les voir en page couverture. Les gens sont retournés chez eux très heureux d'avoir passé une belle fin de semaine en compagnie de parents et amis de l'Association des familles Leblond.

Jocelyn Rodrigue


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Rapport du président, volume 10 No 4

Une autre année s'est déjà écoulée. Le temps ne s'arrête pas, alors que nous pouvons et nous devons nous arrêter de temps en temps pour faire le point, pour faire un retour sur les actions posées et pour planifier le futur. Durant mon mandat 98-99, l'Association a poursuivi son développement et a travaillé à mieux se faire connaître. A cet effet, nous avons participé aux Fêtes de la Nouvelle France. C'est sans contredit notre meilleure participation et cela, principalement par la localisation de notre kiosque à Place de Paris. Nous étions au coeur des activités des Fêtes, là où la circulation était la plus forte. Nous avons reçu au-delà d'une centaine de Leblond. Denis a fait un excellent travail d'organisation et de coordination qui a conduit à ce succès. Quelques nouveaux articles de promotion sont venus s'ajouter à la liste, soit le stylo et le porte-clés. J'ai participé à une activité organisée par la région 02, soit Bellechasse Dorchester Montmagny.

Voilà déjà cinq ans que je suis président de l'Association. Lorsque j'ai accepté le poste en 1994, j'avais des objectifs précis en tête qui, je croyais, pouvaient faire avancer l'association. En collaboration avec les différents conseils d'administration, j'ai réalisé la majorité de ces objectifs sauf un et c'est le recrutement. J'avais comme objectif d'augmenter le nombre de membres, alors qu'il s'est maintenu à un niveau stable, voir même diminuer légèrement. Est-ce cela la maturité d'une Association? Quoiqu'il en soit, j'avais déjà décidé de quitter mon poste permettant ainsi à une autre personne d'arriver avec des idées nouvelles et cela pour le plus grand bien de l'Association.

Je remercie tous les membres des différents conseils d'administration que j'ai présidés au cours de ces 5 ans ; elles m'ont permis d'apprendre et de développer certains côtés de ma personnalité. En plus, j'ai eu la chance ce connaître des gens formidables. Enfin, je ne peux terminer sans dire un merci tout spécial à Denis pour l'aide qu'il m'a apporté durant ce temps, pour l'amitié qu'il nous a permis de développer et pour son engagement inconditionnel envers l'Association.

Longue vie à l'Association.

Leblondement vôtre,
Normand Leblond

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Mot du président, volume 11 No 1

Et oui, nous voilà, nous sommes déjà rendus à l'an 2000. Au nouveau millénaire, c'est le temps de s'arrêter et de faire le point sur le passé afin d'éclairer nos décisions dans le futur. C'est ainsi qu'à notre rencontre du comité directeur du 17 novembre et de notre rencontre du conseil d'administration le 20 novembre nous avons parlé, entre autre, de renouveau. Donc, le prochain congrès qui se passera dans la région de Montmagny, devrait être différent.

Depuis le mois de décembre dernier, un local a été loué par six associations de famille dans le but d'entreposer l'inventaire que nous possédons (journaux, gilets, etc.). Le nouveau responsable de cet inventaire est Jean-Louis Leblond. Si vous avez besoin d'un article, écrivez à l'adresse postale sur le journal Leblond d'Or ou téléphonez directement Jean-Louis au 418-627-3606.

En terminant, Andrée et moi voulons vous souhaiter une très bonne année 2000 remplie de bonheur, de joie, de paix et surtout de santé.

Au plaisir de se revoir,
Réjean Leblond (405)


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